La lavandière
Tu sentais la lavande, belle lavandière,
Tout en frottant le linge, ta cambrure,
Prononcée, sous le lin de ta crinière,
S'attelait avec élan et grâce pure.
Tu avais la beauté d'une princesse,
Les cheveux blonds, et le cœur pur,
Le regard océan emplit de liesse,
Et ce teint de porcelaine si nature.
Je rêve d'émotions dans un nid de lin,
La regardant penchée, sur ces draperies,
Mon cœur timidement sourit, cristallin,
Mes pupilles effleurant l'étoffe fleurie.
J'ai vu dans son regard, l'âme paisible,
D'une lavandière belle, sereine, tranquille,
De sa peau blanche au paraître sensible,
De ce sentiment de la beauté d'une île.
Si seule et cette bretelle sur son épaule,
Descendant le long du bras et affleurant,
J'aimerai l'effleurer d'un doigt sous l'aulne,
Poser sur ses lèvres un baiser assurant.
Phoeube, Matthale ©(16/04/2018)
Tu sentais la lavande, belle lavandière,
Tout en frottant le linge, ta cambrure,
Prononcée, sous le lin de ta crinière,
S'attelait avec élan et grâce pure.
Tu avais la beauté d'une princesse,
Les cheveux blonds, et le cœur pur,
Le regard océan emplit de liesse,
Et ce teint de porcelaine si nature.
Je rêve d'émotions dans un nid de lin,
La regardant penchée, sur ces draperies,
Mon cœur timidement sourit, cristallin,
Mes pupilles effleurant l'étoffe fleurie.
J'ai vu dans son regard, l'âme paisible,
D'une lavandière belle, sereine, tranquille,
De sa peau blanche au paraître sensible,
De ce sentiment de la beauté d'une île.
Si seule et cette bretelle sur son épaule,
Descendant le long du bras et affleurant,
J'aimerai l'effleurer d'un doigt sous l'aulne,
Poser sur ses lèvres un baiser assurant.
Phoeube, Matthale ©(16/04/2018)
Dernière édition: