sur le même principe que mon dernier poème; texte légendes photo, d'un deuxième livre photo assemblées ensemble forme un poème
La haut sur la montagne mironton, mirontaine
N'oublie pas ton gilet de laine
Elle tire la langue comme une vache,
voyez son esprit se relâche,
la montagne ça vous enivre,
Venez tourner la page, suivez ce livre,
la beauté des paysages, la force imposante,
Le calme et la douce lumière reposante,
Dans un ciel toujours bleu quelque nuages,
Survolent l'herbe fraîches des alpages,
Arrivé tout en haut on surplombe la vallée,
Une forêt de sapin à nos pieds affalée,
Punaise j'suis un ouf, je pose des vers,
La vie d'moi, sur la teté des grands sapins verts,
Houa! c'est trop beau j'en fait même le cliché,
T'ention les chardons bleus c'est pas du chiqué,
Les habitantes du lieu restaient dans leur cabane en tôle,
Mais vers midi elles commençaient à sortir de leur piaule,
Ça ne semble pas rassurer le jeune citadin,
Mais son fils lui parait s'en foutre le p'tit gredin,
D'un coup le ciel sur nos têtes se couvre,
Quand à notre estomac l'appétit s'ouvre,
Alors qu'en bas on souffre sous la canicule,
Pour manger ici, il nous faut remettre un pull,
Assis dans l'herbe, casquette orange, la grand-mère,
Qui joue avec sont portable? casquette bleue le grand-père,
On mord dans le sandwich à pleine dent,
Il n'y a pas de gagnant ni de perdant,
Pour tous c'est l'heure du repas,
Ainsi la maman et son veau,
Quand viendra l'heure du trépas,
finira t'il en godiveau ?
Partout sur la prairie broute le troupeau,
Dans son joli manteau en cuire de peau,
Mais la pitance est maigre,
Un goût un peut aigre,
l'herbe jaunie, l'été est sec,
Oué! c'est d'la bonne t'en veux mec,
Après avoir mangé, une vache joue la star,
Il faut la prendre en photo avant notre départ,
Le petit garçon d'un bout de bois fait un revolver,
C'est presque une histoire à la Prévert,
Et là dans les chardons encore une vache,
Et dans le ciel le soleil joue à cache-cache,
Ho! mon beau sapin,
Te voilà dans l'ombre
Allez adieu copain,
Nous on fuit le sombre,
La haut sur la montagne y avait un vieux chalet,
Arrêtez vous allez me faire chialer,
Nous voilà sur le chemin du retour,
-L'autre : là j'vous dit c'est plus court,
-Elle : ben non les panneaux disent par là,
Nous voilà bien avancé avec tous ce bla-bla,
Finalement suivons l'ancien sur le sentier aride,
Il marche toujours en tête malgré son bide
(c'est pour la rime)
On croise de tout en redescendant,
Des pachydermes, heu! non des ruminants
Une balade en Chartreuse,
Pour rendre la vie heureuse,
Sur la prairie des Emeindras,
Dis l'été prochain tu reviendras?
La haut sur la montagne mironton, mirontaine
N'oublie pas ton gilet de laine
Elle tire la langue comme une vache,
voyez son esprit se relâche,
la montagne ça vous enivre,
Venez tourner la page, suivez ce livre,
la beauté des paysages, la force imposante,
Le calme et la douce lumière reposante,
Dans un ciel toujours bleu quelque nuages,
Survolent l'herbe fraîches des alpages,
Arrivé tout en haut on surplombe la vallée,
Une forêt de sapin à nos pieds affalée,
Punaise j'suis un ouf, je pose des vers,
La vie d'moi, sur la teté des grands sapins verts,
Houa! c'est trop beau j'en fait même le cliché,
T'ention les chardons bleus c'est pas du chiqué,
Les habitantes du lieu restaient dans leur cabane en tôle,
Mais vers midi elles commençaient à sortir de leur piaule,
Ça ne semble pas rassurer le jeune citadin,
Mais son fils lui parait s'en foutre le p'tit gredin,
D'un coup le ciel sur nos têtes se couvre,
Quand à notre estomac l'appétit s'ouvre,
Alors qu'en bas on souffre sous la canicule,
Pour manger ici, il nous faut remettre un pull,
Assis dans l'herbe, casquette orange, la grand-mère,
Qui joue avec sont portable? casquette bleue le grand-père,
On mord dans le sandwich à pleine dent,
Il n'y a pas de gagnant ni de perdant,
Pour tous c'est l'heure du repas,
Ainsi la maman et son veau,
Quand viendra l'heure du trépas,
finira t'il en godiveau ?
Partout sur la prairie broute le troupeau,
Dans son joli manteau en cuire de peau,
Mais la pitance est maigre,
Un goût un peut aigre,
l'herbe jaunie, l'été est sec,
Oué! c'est d'la bonne t'en veux mec,
Après avoir mangé, une vache joue la star,
Il faut la prendre en photo avant notre départ,
Le petit garçon d'un bout de bois fait un revolver,
C'est presque une histoire à la Prévert,
Et là dans les chardons encore une vache,
Et dans le ciel le soleil joue à cache-cache,
Ho! mon beau sapin,
Te voilà dans l'ombre
Allez adieu copain,
Nous on fuit le sombre,
La haut sur la montagne y avait un vieux chalet,
Arrêtez vous allez me faire chialer,
Nous voilà sur le chemin du retour,
-L'autre : là j'vous dit c'est plus court,
-Elle : ben non les panneaux disent par là,
Nous voilà bien avancé avec tous ce bla-bla,
Finalement suivons l'ancien sur le sentier aride,
Il marche toujours en tête malgré son bide
(c'est pour la rime)
On croise de tout en redescendant,
Des pachydermes, heu! non des ruminants
Une balade en Chartreuse,
Pour rendre la vie heureuse,
Sur la prairie des Emeindras,
Dis l'été prochain tu reviendras?
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