La folle farandole...
Rêve je ne crois pas au chant de ta sirène.
On m'invite à saluer un monde en éclats,
L'absence et l'amour en dérive me gangrène,
Bastion, cartes s'effondrant avec fracas...
Grandes illusions s'effaçant peu à peu,
Pauvres images d'un espoir qui s'amenuise
Seules en mon cœur, braises jadis en feu,
Celles de vie brûlante où la mort se déguise...
Ô verte vallée si floue, fais que je m'accroche
Aux lambeaux de ce bonheur à jamais perdu,
Réduit aux souvenirs inscrits sur une roche,
Figeant l'insoutenable de l'inattendu...
Tout se déchire en ce triste monde, s'assassine,
La morale est vilipendée, part en fumée,
On crache sur le sacré et le mal culmine
L'horreur courtise le ciel, noircit l'empyrée...
Pourtant je veux croire à la folle farandole
Défilant devant moi, celle de jours meilleurs
Pour tous nos enfants, en mon âme caracole
L'espoir d'un bonheur infini, de ses veilleurs...
Rêve je ne crois pas au chant de ta sirène.
On m'invite à saluer un monde en éclats,
L'absence et l'amour en dérive me gangrène,
Bastion, cartes s'effondrant avec fracas...
Grandes illusions s'effaçant peu à peu,
Pauvres images d'un espoir qui s'amenuise
Seules en mon cœur, braises jadis en feu,
Celles de vie brûlante où la mort se déguise...
Ô verte vallée si floue, fais que je m'accroche
Aux lambeaux de ce bonheur à jamais perdu,
Réduit aux souvenirs inscrits sur une roche,
Figeant l'insoutenable de l'inattendu...
Tout se déchire en ce triste monde, s'assassine,
La morale est vilipendée, part en fumée,
On crache sur le sacré et le mal culmine
L'horreur courtise le ciel, noircit l'empyrée...
Pourtant je veux croire à la folle farandole
Défilant devant moi, celle de jours meilleurs
Pour tous nos enfants, en mon âme caracole
L'espoir d'un bonheur infini, de ses veilleurs...
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