La femme pieuse
Que mon cœur aime
Je suis malade certes, oui, j’ai mal au cœur
Malgré ça je résiste, rien que pour voir ma rose
Je suis malade certes, ni remède ni docteur
A qui est la faute, pour mon cœur morose
Je suis malade certes, j’ai le mal d’amour
Malgré ça, tu restes, toi la femme pieuse
Depuis notre grande fête mon cœur vous adore
Tu reste toujours mon Juliette et ma cause
Oh mon amour pourquoi ce soir les pleure
Malgré mon sombre sort soit courageuse
Tout le monde meurt roi ou empereur
Même les bourreaux qui font les sentences
Quand sonnera l’heure les âmes monte vers le seigneur
Aller sans retour vers une vie pleine de chance
Je t’ai aimé sois sure même si mon cœur était ailleurs
Je t’ai choisi toi seule parmi tant de roses
Malgré ma douleur, tu as fait mon bonheur
Tu as vendus ton or dans les nuits nuageuses
Pour sauver l’honneur vous étiez mon sauveur
Pourquoi douter encore de cet amour grandiose
Que cache pour vous mon cœur
Que mon cœur aime
Je suis malade certes, oui, j’ai mal au cœur
Malgré ça je résiste, rien que pour voir ma rose
Je suis malade certes, ni remède ni docteur
A qui est la faute, pour mon cœur morose
Je suis malade certes, j’ai le mal d’amour
Malgré ça, tu restes, toi la femme pieuse
Depuis notre grande fête mon cœur vous adore
Tu reste toujours mon Juliette et ma cause
Oh mon amour pourquoi ce soir les pleure
Malgré mon sombre sort soit courageuse
Tout le monde meurt roi ou empereur
Même les bourreaux qui font les sentences
Quand sonnera l’heure les âmes monte vers le seigneur
Aller sans retour vers une vie pleine de chance
Je t’ai aimé sois sure même si mon cœur était ailleurs
Je t’ai choisi toi seule parmi tant de roses
Malgré ma douleur, tu as fait mon bonheur
Tu as vendus ton or dans les nuits nuageuses
Pour sauver l’honneur vous étiez mon sauveur
Pourquoi douter encore de cet amour grandiose
Que cache pour vous mon cœur
Tout près comme toujours tu cache tes souffrances
Sans reprendre tu donne de toi le meilleurs
Tu as su guérir mes blessures par ta présence
Tu m’as inondé de joie et m’entouré de fleurs
J’ai cru m’effondre un jour, vous étiez ma chance
D’une couche poudreuse, tu as couverai mon cœur
Pur amour de toi, moi j’ai eu ma dose
Demain, c’est sure après ma mort
Je vais me libérer de cette douleur atroce
L’âme monte au ciel la terre aura mon corps
Et pour cette Jouvencelle un amour grandiose
Entre mes entrailles qui grandi chaque jour
Quand elle aura des ailes elle comprendra les choses
Tu oublieras vite la chaleur de mon corps
Ma joie de vivre mes rires et mes danses
Mes bras qui n’hésitent à te serrer très fort
Quand l’envie s’invite à ton âme délicieuse
Tu oublieras vite ma voix mes murmures
Mes caresses s’est lente et ces nuits fabuleuses
Mais ne tarde pas fait vite au près du seigneur
J’ai besoin encore de ton âme généreuse
C’est écrit quelque part l’amour jamais ne meurt
Il est comme un phare avec une lumière gracieuse
Sans reprendre tu donne de toi le meilleurs
Tu as su guérir mes blessures par ta présence
Tu m’as inondé de joie et m’entouré de fleurs
J’ai cru m’effondre un jour, vous étiez ma chance
D’une couche poudreuse, tu as couverai mon cœur
Pur amour de toi, moi j’ai eu ma dose
Demain, c’est sure après ma mort
Je vais me libérer de cette douleur atroce
L’âme monte au ciel la terre aura mon corps
Et pour cette Jouvencelle un amour grandiose
Entre mes entrailles qui grandi chaque jour
Quand elle aura des ailes elle comprendra les choses
Tu oublieras vite la chaleur de mon corps
Ma joie de vivre mes rires et mes danses
Mes bras qui n’hésitent à te serrer très fort
Quand l’envie s’invite à ton âme délicieuse
Tu oublieras vite ma voix mes murmures
Mes caresses s’est lente et ces nuits fabuleuses
Mais ne tarde pas fait vite au près du seigneur
J’ai besoin encore de ton âme généreuse
C’est écrit quelque part l’amour jamais ne meurt
Il est comme un phare avec une lumière gracieuse
Dis-lui amour si ce soir, je meurs
Si vos chemins un jour vont se croiser
Dis-lui que son père n’est pas un trouillard
C’est la vie qui est dure, et que sa mère m'a trahie
Dis-lui que j’ai soufferts face à des barrières
Avec les blasphèmes ils m’ont tellement blessé
Seul dans ce couloir, et ces yeux qui regardent
Ma chemise comme mouchoir, moi je t’ai pleuré
Ils m’ont dit que c’est trop tard, le destin vous sépare
Il est ton adversaire il t’a condamné
Dis-lui amour si elle sonnera mon heure
Que malgré loin de moi, dans mon cœur tout près
Que toi au cœur malgré sa douleur
Dite à ma petite fleur ça, et que je l’ai aimé
Je l’ai senti un jour derrière une peau d’un corps
Mes doigts se souviennent toujours de ces coups de pied
Je l’ai parlé des heures et elle entre vie et mort
Et à ce grand bonheur moi, je me préparer
Soudain, les vents du nord ont soufflé très fort
Les rêves de mon cœur sont évaporés
Ils m’ont volé ma fleur avant de prendre son corps
Sans voir les couleurs de ses yeux qui brillent
J’ai cherché son ailleurs pour ça, je le jure
Mais le destin est fort n’a pas voulu nous unis
Qui sait peut-être qu’un jour, elle lira mes écritures
Entre les lignes, un amour avec des larmes écrit
Ce jour-là, c’est sure me réclamera son cœur
J’espère que ma fleur va me pardonner
Ou êtes vous amour le noir qui m’entour
Laisse ta candeur vers toi me guider
A petit feu je meurs ton miel pour mon cœur
Rien qu’une goutte et mes plaies se guérit
Ne pleure pas mon amour, soit forte comme toujours
Dite à ma petite fleur qu’au paradis, je vais la serrer
Tout le monde meurt roi ou empereur
Et toi mon amour vit pour moi ta vie
Et surement un jour, on se verra, c’est sure
Fait du bien pour qu’on soit des gens du paradis
Avec des mots en or j’ai écrit ma douleur
Sincère comme toujours elle est ma poésie
Arrête ma plume ses mots de douleur
Elle lira surement un jour tous mes écrits
Ou êtes vous amour le chagrin est fort
Dans ces filets moi je suis piégé
Je t’aime
Si vos chemins un jour vont se croiser
Dis-lui que son père n’est pas un trouillard
C’est la vie qui est dure, et que sa mère m'a trahie
Dis-lui que j’ai soufferts face à des barrières
Avec les blasphèmes ils m’ont tellement blessé
Seul dans ce couloir, et ces yeux qui regardent
Ma chemise comme mouchoir, moi je t’ai pleuré
Ils m’ont dit que c’est trop tard, le destin vous sépare
Il est ton adversaire il t’a condamné
Dis-lui amour si elle sonnera mon heure
Que malgré loin de moi, dans mon cœur tout près
Que toi au cœur malgré sa douleur
Dite à ma petite fleur ça, et que je l’ai aimé
Je l’ai senti un jour derrière une peau d’un corps
Mes doigts se souviennent toujours de ces coups de pied
Je l’ai parlé des heures et elle entre vie et mort
Et à ce grand bonheur moi, je me préparer
Soudain, les vents du nord ont soufflé très fort
Les rêves de mon cœur sont évaporés
Ils m’ont volé ma fleur avant de prendre son corps
Sans voir les couleurs de ses yeux qui brillent
J’ai cherché son ailleurs pour ça, je le jure
Mais le destin est fort n’a pas voulu nous unis
Qui sait peut-être qu’un jour, elle lira mes écritures
Entre les lignes, un amour avec des larmes écrit
Ce jour-là, c’est sure me réclamera son cœur
J’espère que ma fleur va me pardonner
Ou êtes vous amour le noir qui m’entour
Laisse ta candeur vers toi me guider
A petit feu je meurs ton miel pour mon cœur
Rien qu’une goutte et mes plaies se guérit
Ne pleure pas mon amour, soit forte comme toujours
Dite à ma petite fleur qu’au paradis, je vais la serrer
Tout le monde meurt roi ou empereur
Et toi mon amour vit pour moi ta vie
Et surement un jour, on se verra, c’est sure
Fait du bien pour qu’on soit des gens du paradis
Avec des mots en or j’ai écrit ma douleur
Sincère comme toujours elle est ma poésie
Arrête ma plume ses mots de douleur
Elle lira surement un jour tous mes écrits
Ou êtes vous amour le chagrin est fort
Dans ces filets moi je suis piégé
Je t’aime
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