Aussi douce que la rosée du matin,
Rayonnante tel un soleil d'été,
Aux cheuveux longs bouclés chatains,
Je n'ose à peine l'effleurer,
Le sourire d'une femme épanuie,
Au caractère enfantin et pleine de vie,
Je désir me noyer dans son regard,
Se regard noir, plein d'espoir,
Aux formes légères ou généreuses,
Quelques fois mysterieuses,
De votre présence pure et innocente,
La vie me sourit, je rêve enfin, j'en chante,
La douceur de vos doigts longs et fins,
Caressant mon visage de gamin,
M'emporte pour une dernière danse,
Me rappelant votre immense élégance,
Vous êtes des femmes aux charmes inégalés,
Aux voix ensorcelantes des comptes de fées,
Aux pensées dures et déterminés,
Vous combattez chaque jour notre dure réalité,
A travers vos doux minoix et vos gestes maladroits,
Vous gardez la foie, à tout moment, à tout endroit,
Je vois la femme comme cela,
Merci d'être là et d'avoir rempli mon coeur de joie.
Rayonnante tel un soleil d'été,
Aux cheuveux longs bouclés chatains,
Je n'ose à peine l'effleurer,
Le sourire d'une femme épanuie,
Au caractère enfantin et pleine de vie,
Je désir me noyer dans son regard,
Se regard noir, plein d'espoir,
Aux formes légères ou généreuses,
Quelques fois mysterieuses,
De votre présence pure et innocente,
La vie me sourit, je rêve enfin, j'en chante,
La douceur de vos doigts longs et fins,
Caressant mon visage de gamin,
M'emporte pour une dernière danse,
Me rappelant votre immense élégance,
Vous êtes des femmes aux charmes inégalés,
Aux voix ensorcelantes des comptes de fées,
Aux pensées dures et déterminés,
Vous combattez chaque jour notre dure réalité,
A travers vos doux minoix et vos gestes maladroits,
Vous gardez la foie, à tout moment, à tout endroit,
Je vois la femme comme cela,
Merci d'être là et d'avoir rempli mon coeur de joie.