La couleur des maux…Chimère
Il existe un monde où je me tiens solitaire,
Où le rêve cache une réelle lumière.
Un lieu de majesté que nul ne peut franchir
En tout état d’âme qui ne peut se trahir…
D’un bleu turquoise comme la mer, transparence.
S’éclaire d’un soleil ardent, fluorescence.
Tout près d’un jardin fleurit de mille couleurs,
Où la rose s’abreuve à la rosée des pleurs…
Je m’y promène à la langueur de mes tourments,
J’entends au loin l’oiseau lyre d’un son aimant,
Il me transporte de lieds comme une obédience,
Racontant ma chimère désobéissance.
Aux sons colorés de mes absences itérées,
S’offrent les passions affectueuses arborées,
J’oublie dans ce sillage une douce émotion,
Egrainant de mes silences la compassion …
Il existe un monde où je me tiens solitaire,
Où le rêve cache une réelle lumière.
Un lieu de majesté que nul ne peut franchir
En tout état d’âme qui ne peut se trahir…
D’un bleu turquoise comme la mer, transparence.
S’éclaire d’un soleil ardent, fluorescence.
Tout près d’un jardin fleurit de mille couleurs,
Où la rose s’abreuve à la rosée des pleurs…
Je m’y promène à la langueur de mes tourments,
J’entends au loin l’oiseau lyre d’un son aimant,
Il me transporte de lieds comme une obédience,
Racontant ma chimère désobéissance.
Aux sons colorés de mes absences itérées,
S’offrent les passions affectueuses arborées,
J’oublie dans ce sillage une douce émotion,
Egrainant de mes silences la compassion …