La copie de l'idéal humain n'est pas si loin
Qu’importe sa couleur, son physique ou son intelligence
Il serait pour moi celui qui sait pleurer sans se cacher une seconde
Sans attributs quelconque ni titre honorifique simplement doté d’insouciance
Un être naïf de croire que l’utopie est reine en ce bas monde
Un prof rêveur, simplet, dormeur et joyeux sans préjugés ni peureux
Qui donnerai confiance aux timides, réconforterai les grincheux
Soignerai aussi les « atchoum » des gens malades en leur parlant un peu
Car sa simplicité ferai du monde qui l’entoure un conte merveilleux
Architecte des plus beaux monuments, d’un paysage semblable au paradis
Dessinateur expert esquissant l’horizon au-delà de la mire
Un ange gardien travaillant sans relâche du dimanche au samedi
Sage poète partageant ses connaissances sans chercher à remplir sa tirelire
Sans arrières pensées, ni avides de pouvoir, de puissance
Qui n’aurai d’autre but que de guider celui qui se perd
Dans ce labyrinthe, abattrai les murs jusqu’à l’ultime souffrance
Car sa vie n’aurai de sens que si l’humain trouve son repère
L’idéal est souvent synonyme de perfection, sans nul doute à raison
Seule une personne ayant vécu moult vies pourrait s’en rapprocher
Mais l’humanité est ainsi faite que nous n’avons qu’au plus un siècle
Qui peut alors s’adjuger un tel honneur sinon un dieu lui-même
L’homme idéal n’existe pas pour moi, seules des copies plus ou moins réussies
Qui même avec toute leur volonté, ne pourront égaler l’original tant imaginé
Cela n’empêche qu’il y a autour de nous des êtres qui me rendent indécis
Car ils ont certaines facultés que la plupart parmi nous n’auront jamais
Regardez autour de vous, ne voyez-vous pas ? Allons plus bas !
Un être si petit, souriant, aimant la vie sans savoir pourquoi ?
Cet individu qui ne se pose pas de question, qui vit sa vie pas à pas
Il se caractérise par l’insouciance et l’innocence, ce n’est autre que l’enfant
Il existe aussi tous ces gens qui ont vécus à peine et tant souffert
Là ou d’autres disent la vie ne vaut rien (comme dirai Souchon)
Eux savent que rien ne vaut la vie et savourent leur passage sur terre
Des marginaux telles les personnes handicapées pour moi sont des exemples
Il serait pour moi celui qui sait pleurer sans se cacher une seconde
Sans attributs quelconque ni titre honorifique simplement doté d’insouciance
Un être naïf de croire que l’utopie est reine en ce bas monde
Un prof rêveur, simplet, dormeur et joyeux sans préjugés ni peureux
Qui donnerai confiance aux timides, réconforterai les grincheux
Soignerai aussi les « atchoum » des gens malades en leur parlant un peu
Car sa simplicité ferai du monde qui l’entoure un conte merveilleux
Architecte des plus beaux monuments, d’un paysage semblable au paradis
Dessinateur expert esquissant l’horizon au-delà de la mire
Un ange gardien travaillant sans relâche du dimanche au samedi
Sage poète partageant ses connaissances sans chercher à remplir sa tirelire
Sans arrières pensées, ni avides de pouvoir, de puissance
Qui n’aurai d’autre but que de guider celui qui se perd
Dans ce labyrinthe, abattrai les murs jusqu’à l’ultime souffrance
Car sa vie n’aurai de sens que si l’humain trouve son repère
L’idéal est souvent synonyme de perfection, sans nul doute à raison
Seule une personne ayant vécu moult vies pourrait s’en rapprocher
Mais l’humanité est ainsi faite que nous n’avons qu’au plus un siècle
Qui peut alors s’adjuger un tel honneur sinon un dieu lui-même
L’homme idéal n’existe pas pour moi, seules des copies plus ou moins réussies
Qui même avec toute leur volonté, ne pourront égaler l’original tant imaginé
Cela n’empêche qu’il y a autour de nous des êtres qui me rendent indécis
Car ils ont certaines facultés que la plupart parmi nous n’auront jamais
Regardez autour de vous, ne voyez-vous pas ? Allons plus bas !
Un être si petit, souriant, aimant la vie sans savoir pourquoi ?
Cet individu qui ne se pose pas de question, qui vit sa vie pas à pas
Il se caractérise par l’insouciance et l’innocence, ce n’est autre que l’enfant
Il existe aussi tous ces gens qui ont vécus à peine et tant souffert
Là ou d’autres disent la vie ne vaut rien (comme dirai Souchon)
Eux savent que rien ne vaut la vie et savourent leur passage sur terre
Des marginaux telles les personnes handicapées pour moi sont des exemples