Ce poème n'est pas de moi mais d'une amie. Je le mets pour que vous me donniez votre avis sur ce quelle écrit.
Je suis salie, je manque d'image propre, avec une vie sans bruit mais remplie de coins d'ombres. On me l'a dit, on me le répète, un jour je crèverais à force d'insister. Mais moi, la vie, je m'en fiche. Avec ou sans cigarette, moi je sais qu'elle me pourrie quand même ce que je suis. Je ne suis plus jamais un fruit, je suis pire, presque empoisonnée. Je suis peut être trop conne, mais penser que demain ca pourrait être pire qu'hier ne me pousse pas à bien vouloir écouter les conseils, pas toujours bons en plus, que l'on me fait à longueur de journée. Je ne crois plus en rien, je n'ai plus confiance en qui que ce soit, comment pourrai-je accepter de suivre ce qui me semble être inutile alors que je suis déja suffisamment faitguée par toutes les bêtises humaines ? Bien sûr on croira que finalement je me suis faite avoir par ceux qui n'ont plus aucun mérite, ceux qu'il vaut mieux désormais oublier. Fumer tue, les hommes aussi alors pourquoi s'interdire ce mal plus doux que le danger que l'on court à vouloir croire en l'homme ? Moi fumer me réconforte, mais les hommes eux m'assassinent. La fumée que je respire, elle n'est pas pire que le soupir que me font tirer cette éspèce soi-disante "évoluée". Demain j'étoufferais peut être, mais pas plus qu'avec vous tous réunis alors laissez-moi encore un peu prendre de ce qui pourrait me redonner de l'espoir contre vous. Ne priz pas pour moi, mais plutôt pour vous même, aujourd'hui c'est permis vu l'état d'urgence que vous avez crée. Demain je ne verrais peut être plus le jour, mais je ne verrais plus non plus vos sourires narquois, vos yeux de vipères qui voulaient me faire taire, et puis aussi vos lrames d'hypocrites qui ne renferment aucune compassion pour ce que j'ai voulu être. Je voulais être moi.
P.S : Ne suivez pas ce que j'ai pus écrire ! Profiter de votre vie puisqu'il vous reste encore du temps...pour l'instant.
