La boite à mot
- Auteur de la discussion Lyseria
- Date de début
il y a des jours
ou cela devient difficile
de garder son sourire
quand votre coeur
à mal
dans l'encre de mes yeux rougeâtre
surplomb mon angoisse verdâtre
cette tristesse bleuâtre
qui m'affaisse en âtre
d'une blessure brunâtre
ces faux sourires folâtre
en ma gorge se noue noirâtre
que je ne fusse
ainsi faite
que douleur rougeoie
en ma face louvoies
que je ne puisse pantois
me défaire de ce visage coi
déteint gouffre de misère aux abois
ou s'épanche mon gouvernail clair-voie
a ne vouloir croire
le malin blasphématoire
deviendra mon abreuvoir
mon chemin de mine excutoir
ou mon destin moratoire
deviendra mon défouloir
ma force mon pouvoir
à ne vouloir
me transformer en loir
ou cela devient difficile
de garder son sourire
quand votre coeur
à mal
dans l'encre de mes yeux rougeâtre
surplomb mon angoisse verdâtre
cette tristesse bleuâtre
qui m'affaisse en âtre
d'une blessure brunâtre
ces faux sourires folâtre
en ma gorge se noue noirâtre
que je ne fusse
ainsi faite
que douleur rougeoie
en ma face louvoies
que je ne puisse pantois
me défaire de ce visage coi
déteint gouffre de misère aux abois
ou s'épanche mon gouvernail clair-voie
a ne vouloir croire
le malin blasphématoire
deviendra mon abreuvoir
mon chemin de mine excutoir
ou mon destin moratoire
deviendra mon défouloir
ma force mon pouvoir
à ne vouloir
me transformer en loir
Dernière édition:
je n'ai que mes mots
pour te dire
que mon coeur brule
une lave dévale les pentes
de cet être
ou la mort
n'est que messagère
ou la haine devient conseillère
ou ma rage devient colère
je n'ai que mes mots
pour te dire cela
je n'ai que ma foi
pour crier
la nuit venue au bois errance
de ma clameur
ou git ainsi des morceaux de moi
dans l'ombre d'un précipice
ou ma joie engouffré
dans la genèse
du fils
je boirais à ta coupe
j'en deveindrais
détentrice
que je ne sois damné
ma rose pour une seule
goute de ton désir
pour te dire
que mon coeur brule
une lave dévale les pentes
de cet être
ou la mort
n'est que messagère
ou la haine devient conseillère
ou ma rage devient colère
je n'ai que mes mots
pour te dire cela
je n'ai que ma foi
pour crier
la nuit venue au bois errance
de ma clameur
ou git ainsi des morceaux de moi
dans l'ombre d'un précipice
ou ma joie engouffré
dans la genèse
du fils
je boirais à ta coupe
j'en deveindrais
détentrice
que je ne sois damné
ma rose pour une seule
goute de ton désir
Ton Tonton TêTu Tond Ta TorTue à TâTons 
(moi)
SUR LE DOS DE LA TORTUE
TouT comme au Théâtre, l’oiseau TélégraphisTe a Tapé
Les Trois coups, sur le Tambour d’un Tronc.
Alors, au pied du Tamaris, Tiré soudain de sa Torpeur, un Tumulus Tressaille
et Tangue eT se Transforme en Tacot Tout Terrain.
Où T’en vas-Tu Tortue Tzigane au dôme TarabiscoTé
Quand le vent Taquin vienT Troubler la frêle Tulipe en TuTu,
Quand les TruiTes elles racheTées Tirent des TraiTs aux Tons Turquoise
Dans les TorrenTs TumulTueux ?
En Treillis, TourisTe Tranquille au TempéramenT
TaciTurne qui pourraiT Te Targuer pourTanT d’avoir fait Tomber de son Trône
TouT-en-Talons, brouTeur de Thym, Tondeur de Trèfle.
TanTôT Tu vas Ton Train ou TanTôT, sur Tes paTTes Torses, Tu Toises
ET Tances un Troublion TransiTant sur Ton TerriToire.
(moi) SUR LE DOS DE LA TORTUE
Toc… Toc… Toc…
Les Trois coups, sur le Tambour d’un Tronc.
Alors, au pied du Tamaris, Tiré soudain de sa Torpeur, un Tumulus Tressaille
et Tangue eT se Transforme en Tacot Tout Terrain.
Où T’en vas-Tu Tortue Tzigane au dôme TarabiscoTé
Quand le vent Taquin vienT Troubler la frêle Tulipe en TuTu,
Quand les TruiTes elles racheTées Tirent des TraiTs aux Tons Turquoise
Dans les TorrenTs TumulTueux ?
En Treillis, TourisTe Tranquille au TempéramenT
TaciTurne qui pourraiT Te Targuer pourTanT d’avoir fait Tomber de son Trône
TouT-en-Talons, brouTeur de Thym, Tondeur de Trèfle.
TanTôT Tu vas Ton Train ou TanTôT, sur Tes paTTes Torses, Tu Toises
ET Tances un Troublion TransiTant sur Ton TerriToire.
La suite ====> ICI
Dernière édition:
Ton Tonton têtu tond ta tortue à tâtons
SUR LA TORTUE
TouT comme au Théâtre, l’oiseau TélégraphisTe a Tapé
Les Trois coups, sur le Tambour d’un Tronc.
Alors, au pied du Tamaris, Tiré soudain de sa Torpeur, un Tumulus Tressaille
et Tangue eT se Transforme en Tacot Tout Terrain.
Où T’en vas-Tu Tortue Tzigane au dôme TarabiscoTé
Quand le vent Taquin vienT Troubler la frêle Tulipe en TuTu,
Quand les truiTelles racheTées Tirent des TraiTs aux Tons Turquoise
Dans les TorrenTs TumulTueux ?
En Treillis, Tou-riste Tranquille au TempéramenT
TaciTurne qui pourraiT Te Targuer pourTanT d’avoir fait Tomber de son Trône
TouT-en-Talons, brouTeur de Thym, Tondeur de Trèfle.
TanTôt Tu vas Ton Train ou TanTôt, sur Tes paTTes Torses, Tu Toises eT
Tances un Troublion Tran-siTant sur Ton TerriToire
SUR LA TORTUE
Toc… Toc… Toc…
Les Trois coups, sur le Tambour d’un Tronc.
Alors, au pied du Tamaris, Tiré soudain de sa Torpeur, un Tumulus Tressaille
et Tangue eT se Transforme en Tacot Tout Terrain.
Où T’en vas-Tu Tortue Tzigane au dôme TarabiscoTé
Quand le vent Taquin vienT Troubler la frêle Tulipe en TuTu,
Quand les truiTelles racheTées Tirent des TraiTs aux Tons Turquoise
Dans les TorrenTs TumulTueux ?
En Treillis, Tou-riste Tranquille au TempéramenT
TaciTurne qui pourraiT Te Targuer pourTanT d’avoir fait Tomber de son Trône
TouT-en-Talons, brouTeur de Thym, Tondeur de Trèfle.
TanTôt Tu vas Ton Train ou TanTôt, sur Tes paTTes Torses, Tu Toises eT
Tances un Troublion Tran-siTant sur Ton TerriToire
comme à votre habitude jolie Mysterre
UN BOUT' CHOU TROP CHOU
Histoire vraie
C'est l'histoire vraie d'une institutrice de dernière année de maternelle, au milieu de janvier, le mois le plus dur pour tout le monde ...
Un des gamins lui demande de l'aider pour mettre ses bottes de neige pour aller en récréation et, en effet, elles sont vraiment difficiles à enfiler.
Après avoir poussé, tiré, repoussé et tiré dans tous les sens, les bottes sont enfin chaussées et le gamin dit :
Bref, nouvelle galère pour les enlever et rebelote pour les remettre mais elle réussit à garder son calme jusqu'à ce que les bottes soient rechaussées, aux bons pieds.
Et là, le gamin lui dit avec toute la candeur qui caractérise les enfants :
Comme le gamin voit bien qu'il a contrarié sa maîtresse, il ne répond pas.
"Bon, allez, on les enlève" et elle se met à nouveau au boulot.
Le deuxième pied est presque sorti quand le gamin poursuit :
L'opération est enfin réussie et la maîtresse se sent fière d'avoir réussi.
Pour aller jusqu'au bout, elle le met debout, lui fait enfiler son manteau, lui met son cache-nez et lui demande :
"Où sont tes gants?".
Et le gamin de répondre le plus simplement du monde :
"Pour pas les perdre, je les ai mis dans mes bottes."
Histoire vraie
C'est l'histoire vraie d'une institutrice de dernière année de maternelle, au milieu de janvier, le mois le plus dur pour tout le monde ...
Un des gamins lui demande de l'aider pour mettre ses bottes de neige pour aller en récréation et, en effet, elles sont vraiment difficiles à enfiler.
Après avoir poussé, tiré, repoussé et tiré dans tous les sens, les bottes sont enfin chaussées et le gamin dit :
"Elles sont à l'envers, maîtresse".
La maîtresse attrape un coup de chaud quand elle s'aperçoit qu'en effet il y a eu inversion des pieds...Bref, nouvelle galère pour les enlever et rebelote pour les remettre mais elle réussit à garder son calme jusqu'à ce que les bottes soient rechaussées, aux bons pieds.
Et là, le gamin lui dit avec toute la candeur qui caractérise les enfants :
"C'est pas mes bottes".
A ce moment, elle fait demi-tour sur elle-même en se mordant les lèvres, se calme et lui demande pourquoi il ne l'a pas dit avant ...Comme le gamin voit bien qu'il a contrarié sa maîtresse, il ne répond pas.
Elle dit alors :
"Bon, allez, on les enlève" et elle se met à nouveau au boulot.
Le deuxième pied est presque sorti quand le gamin poursuit :
"C'est pas mes bottes, c'est celles de mon frère, mais maman a dit que je dois les mettre".
Là, elle a envie de pleurer mais, une nouvelle fois, elle se calme et entreprend de lui re- re- mettre ses bottes.L'opération est enfin réussie et la maîtresse se sent fière d'avoir réussi.
Pour aller jusqu'au bout, elle le met debout, lui fait enfiler son manteau, lui met son cache-nez et lui demande :
"Où sont tes gants?".
Et le gamin de répondre le plus simplement du monde :
"Pour pas les perdre, je les ai mis dans mes bottes."
UN BOUT' CHOU TROP CHOU
Histoire vraie
C'est l'histoire vraie d'une institutrice de dernière année de maternelle, au milieu de janvier, le mois le plus dur pour tout le monde ...
Un des gamins lui demande de l'aider pour mettre ses bottes de neige pour aller en récréation et, en effet, elles sont vraiment difficiles à enfiler.
Après avoir poussé, tiré, repoussé et tiré dans tous les sens, les bottes sont enfin chaussées et le gamin dit :
La maîtresse attrape un coup de chaud quand elle s'aperçoit qu'en effet il y a eu inversion des pieds...
Bref, nouvelle galère pour les enlever et rebelote pour les remettre mais elle réussit à garder son calme jusqu'à ce que les bottes soient rechaussées, aux bons pieds.
Et là, le gamin lui dit avec toute la candeur qui caractérise les enfants :
A ce moment, elle fait demi-tour sur elle-même en se mordant les lèvres, se calme et lui demande pourquoi il ne l'a pas dit avant ...
Comme le gamin voit bien qu'il a contrarié sa maîtresse, il ne répond pas.
"Bon, allez, on les enlève" et elle se met à nouveau au boulot.
Le deuxième pied est presque sorti quand le gamin poursuit :
Là, elle a envie de pleurer mais, une nouvelle fois, elle se calme et entreprend de lui re- re- mettre ses bottes.
L'opération est enfin réussie et la maîtresse se sent fière d'avoir réussi.
Pour aller jusqu'au bout, elle le met debout, lui fait enfiler son manteau, lui met son cache-nez et lui demande :
"Où sont tes gants?".
Et le gamin de répondre le plus simplement du monde :
"Pour pas les perdre, je les ai mis dans mes bottes." Afficher la pièce jointe 3016
Histoire vraie
C'est l'histoire vraie d'une institutrice de dernière année de maternelle, au milieu de janvier, le mois le plus dur pour tout le monde ...
Un des gamins lui demande de l'aider pour mettre ses bottes de neige pour aller en récréation et, en effet, elles sont vraiment difficiles à enfiler.
Après avoir poussé, tiré, repoussé et tiré dans tous les sens, les bottes sont enfin chaussées et le gamin dit :
"Elles sont à l'envers, maîtresse".
Bref, nouvelle galère pour les enlever et rebelote pour les remettre mais elle réussit à garder son calme jusqu'à ce que les bottes soient rechaussées, aux bons pieds.
Et là, le gamin lui dit avec toute la candeur qui caractérise les enfants :
"C'est pas mes bottes".
Comme le gamin voit bien qu'il a contrarié sa maîtresse, il ne répond pas.
Elle dit alors :
"Bon, allez, on les enlève" et elle se met à nouveau au boulot.
Le deuxième pied est presque sorti quand le gamin poursuit :
"C'est pas mes bottes, c'est celles de mon frère, mais maman a dit que je dois les mettre".
L'opération est enfin réussie et la maîtresse se sent fière d'avoir réussi.
Pour aller jusqu'au bout, elle le met debout, lui fait enfiler son manteau, lui met son cache-nez et lui demande :
"Où sont tes gants?".
Et le gamin de répondre le plus simplement du monde :
"Pour pas les perdre, je les ai mis dans mes bottes." Afficher la pièce jointe 3016
je ne sais pourquoi
je prends la plume
sera t-elle enjouée ?
majestueuse ou de noir
sera t-elle douceur ?
tendresse ou espoir?
je ne sais pas pourquoi
je prends la plume
ce soir
ai-je envie décrire
de pleurer
sera t-elle tendresse amour
ou grisaille
je ne sais pas pourquoi
cette plume se retrouve
la entre mes doigts
veux t-elle s'exprimer
je ne sais plus
pourquoi j'écris
ai-je mal?
je ne sais plus
je meurs dans mon coeur
cette larme de douleur
en apesanteur
je prends la plume
sera t-elle enjouée ?
majestueuse ou de noir
sera t-elle douceur ?
tendresse ou espoir?
je ne sais pas pourquoi
je prends la plume
ce soir
ai-je envie décrire
de pleurer
sera t-elle tendresse amour
ou grisaille
je ne sais pas pourquoi
cette plume se retrouve
la entre mes doigts
veux t-elle s'exprimer
je ne sais plus
pourquoi j'écris
ai-je mal?
je ne sais plus
je meurs dans mon coeur
cette larme de douleur
en apesanteur
Dernière édition:
le choix de l'espoir
quand cette partie infime
qui fait partie de vous
vous échappe
qu'il ne vous reste plus rien
même pas une once d'espoir
faut-il encore sourire à la vie?
porter ce masque,
le masque de l'indifférence
de cette errance
qui vous agasse
portons nous tous des masques ?
pour cacher notre angoisse
notre tristesse
le masque tombe le soir
face à nous même
face a nos peurs nos doutes
demain je remettais mon masque de clown
quand cette partie infime
qui fait partie de vous
vous échappe
qu'il ne vous reste plus rien
même pas une once d'espoir
faut-il encore sourire à la vie?
porter ce masque,
le masque de l'indifférence
de cette errance
qui vous agasse
portons nous tous des masques ?
pour cacher notre angoisse
notre tristesse
le masque tombe le soir
face à nous même
face a nos peurs nos doutes
demain je remettais mon masque de clown
le choix du présent
tu étais mon présent mon avenir mon futur
tu en as décidé autrement
mon désespoir surement
tu n'as pas su comprendre
mes angoisses du passé
trop fière trop orgueilleux
pour avouer tes fautes passées
à présent je vis
dans ce trou noir
tu étais mon présent mon avenir mon futur
à présent tu n'es plus rien juste
une ombre qui passe
un nuage sur mes traces
et ce mal qui ne cesse
de me fracasser
tu étais mon présent mon avenir mon futur
tu en as décidé autrement
mon désespoir surement
tu n'as pas su comprendre
mes angoisses du passé
trop fière trop orgueilleux
pour avouer tes fautes passées
à présent je vis
dans ce trou noir
tu étais mon présent mon avenir mon futur
à présent tu n'es plus rien juste
une ombre qui passe
un nuage sur mes traces
et ce mal qui ne cesse
de me fracasser
Dernière édition:
Les mots peuvent-ils avoir des ailes ?
Peuvent-ils scintiller dans l'air comme des papillons ?
Peuvent-ils nous emporter, captifs, dans un autre monde ?
Peuvent-ils ouvrir les ultimes chambres secrètes de nos âmes ?.
[ Jan-Philipp Sendker ]
Peuvent-ils scintiller dans l'air comme des papillons ?
Peuvent-ils nous emporter, captifs, dans un autre monde ?
Peuvent-ils ouvrir les ultimes chambres secrètes de nos âmes ?.
[ Jan-Philipp Sendker ]
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Le Papillon, chose frivole,
Près de la Fleur coquette est assez bien placé
Le Papillon est une Fleur qui vole,
La Fleur un Papillon fixé.
[ Lebrun Pindare ]
Le Papillon, chose frivole,
Près de la Fleur coquette est assez bien placé
Le Papillon est une Fleur qui vole,
La Fleur un Papillon fixé.
[ Lebrun Pindare ]
le temps s'évade
dans un soupçon
comme une agonie
une brume à l'horizon
ce ciel bleu
cette mer en colère
ce doux passage cheminent
dans ce couloir avide
ou la raison dépeint nos sentiments
le temps s"évade
le temps d'une seconde
regard amer
sourire fétide
ombre de lumière
comme papillon éphémère
voile de nudité
au charme dévoilé
le temps s'évade
le temps d'un soupir
d'un désir qui chavire
Ô ciel lointain limpide
le temps s'évade
mais ne revient jamais
dans un soupçon
comme une agonie
une brume à l'horizon
ce ciel bleu
cette mer en colère
ce doux passage cheminent
dans ce couloir avide
ou la raison dépeint nos sentiments
le temps s"évade
le temps d'une seconde
regard amer
sourire fétide
ombre de lumière
comme papillon éphémère
voile de nudité
au charme dévoilé
le temps s'évade
le temps d'un soupir
d'un désir qui chavire
Ô ciel lointain limpide
le temps s'évade
mais ne revient jamais
