La bohémienne dansait sur le quai,
Ses jupes de gitane s'agitaient.
Je m'arrêtai,
Tant elle m'intriguait.
Ses bras gracieux s'agitaient tendrement,
Comme virevoltant au vent.
Ses cheveux, telles des flammes,
Volaient doucement comme seules savent le faire ces femmes.
Je détaillai son visage.
Une figure bronzée d'une jeune fille pas sage,
Un nez ravissant, plein de taches rousses,
Des yeux perçants, enivrants, embellissaient sa frimousse
Restait sa bouche.
Des lèvres pleines et rouges.
Ses lèvres chantaient cette chanson,
M'emplissant de passion.
Cette déesse rebelle agita une dernière fois sa silhouette,
Puis partit, délaissant cette clandestine fête.
Un mirage oublié d'une femme libre et sauvage.
Qui reste claire malgré mon âge.
Ses jupes de gitane s'agitaient.
Je m'arrêtai,
Tant elle m'intriguait.
Ses bras gracieux s'agitaient tendrement,
Comme virevoltant au vent.
Ses cheveux, telles des flammes,
Volaient doucement comme seules savent le faire ces femmes.
Je détaillai son visage.
Une figure bronzée d'une jeune fille pas sage,
Un nez ravissant, plein de taches rousses,
Des yeux perçants, enivrants, embellissaient sa frimousse
Restait sa bouche.
Des lèvres pleines et rouges.
Ses lèvres chantaient cette chanson,
M'emplissant de passion.
Cette déesse rebelle agita une dernière fois sa silhouette,
Puis partit, délaissant cette clandestine fête.
Un mirage oublié d'une femme libre et sauvage.
Qui reste claire malgré mon âge.