La belle fille d’hier. (Pastiche à trouver)
La raison d'hier dépose dit-on, mon chapeau à sourires,
La toile sergent illuminent mes chants, les filles soumises,
Les faux cons d’arpège se fondent dans un chinois qui tamise,
Découvrent à taire la chape qui tranche tous nos souvenirs.
Les nuits, ces colons tragiques violent les aiguillons glands,
Ces grands fervents des armes animées de bonds en coquilles,
Ceux sans égard, avertissent en brutalité tout le sac des filles,
Sur l’agenda d’une roulette sur chaire, dur en faits tremblants.
Pays sage fumeux, le con fut insensible au passage du papillon,
Les sabres dénudés, sans fioriture, présage le sang sans rature,
Ho ! Con, homme sacrilège, parent pécore en fait sa stature,
Quand dans l'astre dépite leur jeu, entame leur bataillon.
Leur baudrier zigouille, aiguise la bataille de leurs jours,
Il incarne le dessous, pire sans compassion des cages éteintes,
Comme une lune moins brillante dépose ses haillons de craintes,
Pour une vie vérolée en nuances bestiales en rabat tours.
La raison d'hier dépose dit-on, mon chapeau à sourires,
La toile sergent illuminent mes chants, les filles soumises,
Les faux cons d’arpège se fondent dans un chinois qui tamise,
Découvrent à taire la chape qui tranche tous nos souvenirs.
Les nuits, ces colons tragiques violent les aiguillons glands,
Ces grands fervents des armes animées de bonds en coquilles,
Ceux sans égard, avertissent en brutalité tout le sac des filles,
Sur l’agenda d’une roulette sur chaire, dur en faits tremblants.
Pays sage fumeux, le con fut insensible au passage du papillon,
Les sabres dénudés, sans fioriture, présage le sang sans rature,
Ho ! Con, homme sacrilège, parent pécore en fait sa stature,
Quand dans l'astre dépite leur jeu, entame leur bataillon.
Leur baudrier zigouille, aiguise la bataille de leurs jours,
Il incarne le dessous, pire sans compassion des cages éteintes,
Comme une lune moins brillante dépose ses haillons de craintes,
Pour une vie vérolée en nuances bestiales en rabat tours.