La bête !
L’ange déchu, l’astre brillant, toi, Lucifer
Le porteur de lumière au masque de fer
L’ombre sombre du royaume noir des enfers
Tu libères un démon aux desseins mortifères.
Bête féroce, créature xénomorphe
Sur le dos, épines dorsales et latérales
Griffes acérées, à l’aspect anthropomorphe
Animée par l’instinct, de tueur viscéral.
Voir l’appendice buccal, la gueule bouchère
Et les crocs puissants de la mâchoire dentée
Qui broient les os, arrachent les morceaux de chair
Digérant les sucs des organes fragmentés.
Dans les marais nauséeux, gluantes charognes
Le monstre règne dans son morbide domaine
L’air vicié, viande pourrie, sans vergogne
Où paissent des araignées dans les abdomens.
Voyageur imprudent, dans ces lieux hantés
Si tu t’égares, tu n’auras pour tout recours
Que d’affronter le mal, ton corps ensanglanté
Amusera Satan, n’attend aucun secours.
Tu as peur d’être dévoré, devenir la proie
D’un démon sanguinaire, mais la plus infâme
Des morts n’est pas de souffrir, de mourir d’effroi
Mais de finir entre les mains d’un bouffeur d’âme !
La bête a quitté les marais nauséeux
L'âme noire de Lucifer s'est échappée
Son but, rejoindre le domaine des Dieux
Aucun des immortels ne sera rescapé.
Et la bête gravit les pentes escarpées
Du mont Olympe, débouchant dans le palais
En marbre blanc et commença son épopée
Carnage céleste en un sanglant ballet.
La bête aux yeux de braise attrapa Héra
La déesse affolée succomba sous les crocs
Acérés, même sort pour Pallas Athéna
On ressentait la peur en ces lieux sacraux.
La bête dans ses mâchoires tenait Hermès
A demi dévoré, son corps désarticulé
Pendait comme une poupée de son et Arès
Vidé de son sang, son bouclier maculé.
La bête massacra toutes les déités
Seul le grand Zeus restait pour combattre le mal
Le Maître révulsé par tant de cruauté
Perça de son trident, le cœur de l'animal.
La vengeance fut terrible, Zeus cuirassé
Tout d'airain, pénétra les portes des Enfers
La foudre s'abattit sur les démons, chassé
Au fond de son antre, il tua Lucifer.
L’ange déchu, l’astre brillant, toi, Lucifer
Le porteur de lumière au masque de fer
L’ombre sombre du royaume noir des enfers
Tu libères un démon aux desseins mortifères.
Bête féroce, créature xénomorphe
Sur le dos, épines dorsales et latérales
Griffes acérées, à l’aspect anthropomorphe
Animée par l’instinct, de tueur viscéral.
Voir l’appendice buccal, la gueule bouchère
Et les crocs puissants de la mâchoire dentée
Qui broient les os, arrachent les morceaux de chair
Digérant les sucs des organes fragmentés.
Dans les marais nauséeux, gluantes charognes
Le monstre règne dans son morbide domaine
L’air vicié, viande pourrie, sans vergogne
Où paissent des araignées dans les abdomens.
Voyageur imprudent, dans ces lieux hantés
Si tu t’égares, tu n’auras pour tout recours
Que d’affronter le mal, ton corps ensanglanté
Amusera Satan, n’attend aucun secours.
Tu as peur d’être dévoré, devenir la proie
D’un démon sanguinaire, mais la plus infâme
Des morts n’est pas de souffrir, de mourir d’effroi
Mais de finir entre les mains d’un bouffeur d’âme !
La bête a quitté les marais nauséeux
L'âme noire de Lucifer s'est échappée
Son but, rejoindre le domaine des Dieux
Aucun des immortels ne sera rescapé.
Et la bête gravit les pentes escarpées
Du mont Olympe, débouchant dans le palais
En marbre blanc et commença son épopée
Carnage céleste en un sanglant ballet.
La bête aux yeux de braise attrapa Héra
La déesse affolée succomba sous les crocs
Acérés, même sort pour Pallas Athéna
On ressentait la peur en ces lieux sacraux.
La bête dans ses mâchoires tenait Hermès
A demi dévoré, son corps désarticulé
Pendait comme une poupée de son et Arès
Vidé de son sang, son bouclier maculé.
La bête massacra toutes les déités
Seul le grand Zeus restait pour combattre le mal
Le Maître révulsé par tant de cruauté
Perça de son trident, le cœur de l'animal.
La vengeance fut terrible, Zeus cuirassé
Tout d'airain, pénétra les portes des Enfers
La foudre s'abattit sur les démons, chassé
Au fond de son antre, il tua Lucifer.