L’ombre.
Mon beau rêve, me cacher derrière mon ombre,
Pouvoir épier, surveiller, sans me faire voir,
Des créatures, examiner tout le sombre,
Les inciter à chercher la joie à pourvoir.
Ajoutant à la haine, un gracieux « C », enchaîne,
De mon ouvrage, des fruits en feront leur beurre,
Pour moins de malveillance insensée en chaîne,
Et appliqués pour un usufruit de bonheur.
Zen, pour tous, l’avantage des bridés s’expose,
Que l’amour du prochain reste un joli honneur,
Et place ici l’humour débridé qui explose,
Partageant le jasmin où les roses en fleurs.
Et ici mon écrit s’élève en bonne morale,
Pour que mon songe devienne réalité,
Et mes cris s’élèveront, en mots autant râlent,
Que mensonges se transforment en vérité.
Mon beau rêve, me cacher derrière mon ombre,
Pouvoir épier, surveiller, sans me faire voir,
Des créatures, examiner tout le sombre,
Les inciter à chercher la joie à pourvoir.
Ajoutant à la haine, un gracieux « C », enchaîne,
De mon ouvrage, des fruits en feront leur beurre,
Pour moins de malveillance insensée en chaîne,
Et appliqués pour un usufruit de bonheur.
Zen, pour tous, l’avantage des bridés s’expose,
Que l’amour du prochain reste un joli honneur,
Et place ici l’humour débridé qui explose,
Partageant le jasmin où les roses en fleurs.
Et ici mon écrit s’élève en bonne morale,
Pour que mon songe devienne réalité,
Et mes cris s’élèveront, en mots autant râlent,
Que mensonges se transforment en vérité.