L’oiseau ne chante plus !
(Poème de février 2016)
Jamais posé
l'oiseau parleur du 15 juillet 2015
(Poème de février 2016)
Jamais posé
l'oiseau parleur du 15 juillet 2015
Il n’y a que l’oiseau qui chante sur la vie
A l’ombre d’un soleil ne voyant que lumières !
Il saute de son nid appelle avec envie
Son concert bucolique et s’ébrouent sans bannières,
Branches, fleurs du matin dès bruissement des ailes !
Passés au peigne fin peupliers, charmes, tendres,
Se recoiffent angelins attendris sur doux miel
En allers-retours fous sonores en leurs méandres
Qui disent tout et rien sans jamais nous apprendre !
Dame Nature alors relève tous les bras
Abaisse les jupons ces fébriles pétales
Couleurs tendres variées car celle qui s’en va
Sous le ciel refleurit et en massifs s’étale !
Abaisse les jupons ces fébriles pétales
Couleurs tendres variées car celle qui s’en va
Sous le ciel refleurit et en massifs s’étale !
Depuis huit jours j’entends la complainte nouvelle
Comme une rose rouge épanouie née !
La beauté apparait avant d’être ritournelle
Pour notre œil calciné cherche en l’aurore l’inné !
Cet amour familier l’oiseau ne le fredonne !
Il est instable aussi son chant n’est que message !
D’un côté et de l’autre et mon âme frissonne
Car du matin au soir s’étend l’air d’un langage !
L’oiseau lance sa gamme tel l’être sa voix
En coups de gargarisme laisse un rayon d’écho !
Très loin comme très haut le son qu’il envoie
Dans l’air qui s’amplifie sur tous monts et par vaux !
Comme une rose rouge épanouie née !
La beauté apparait avant d’être ritournelle
Pour notre œil calciné cherche en l’aurore l’inné !
Cet amour familier l’oiseau ne le fredonne !
Il est instable aussi son chant n’est que message !
D’un côté et de l’autre et mon âme frissonne
Car du matin au soir s’étend l’air d’un langage !
L’oiseau lance sa gamme tel l’être sa voix
En coups de gargarisme laisse un rayon d’écho !
Très loin comme très haut le son qu’il envoie
Dans l’air qui s’amplifie sur tous monts et par vaux !
Il fut un soir, il fut un matin !
Il fut l’histoire sans fin
D’oiseaux Séraphins*
Ignorant latin
Il fut l’histoire sans fin
D’oiseaux Séraphins*
Ignorant latin
Polymnie2,le 15 mars 2019
Séraphin= étymologiquement un serpent « brûlant » du désert!
Séraphin= étymologiquement un serpent « brûlant » du désert!