La maison du rachitisme le Pearl Harbor français.
Mon devoir d’homme vieillissant m’oblige à raconter ce que fut en ce début de cinquième république la souffrance d’enfants placés dans le centre hélios marin de Biarritz.
Les plus jeunes avaient de 2 ans à 6 ans les plus âgés de 6 ans à 12 ans.
Mettre en ces lieux des enfants de corpulence chétive (soi-disant) afin de leur permettre de prendre du poids, voilà le but recherché par les services sociaux de l’époque.
La fondation agréée par le ministère de la santé paraissait bien belle vue de l’extérieur, malheur à l’enfant sans défense qui était placé à l’intérieur!.
Je raconte mon histoire en plusieurs épisodes sur le site enfin, ce dont je me souviens car la principale préoccupation du pouilleux crasseux malingre et chétif que j’étais devenu en rentrant chez-moi après de longs mois de détention fut d’éclipser de sa mémoire à jamais cette très mauvaise expérience liée à sa jeune vie brisée.
Ils sont légion ceux qui ont souffert â deux pas de l’océan, sans avoir le plaisir d’en profiter, les vagues chargées en larmes inlassablement frapperont leur âme meurtrie.
J’ai recueilli grâce à un ami les pages d’un premier procès à l’encontre du président fondateur de ce lieu maudit.
Monsieur E. Mendelssonh a remis le couvert moins de deux décennies plus tard la similitude des faits par rapport à ceux que j’ai connu me conduit à vous soumettre quelques articles de presse relatant les conditions d’incarcération des pauvres bambins aux mains de leurs bourreaux.
Croyez bien que je pèse ici mes mots et l’ensemble des petits pensionnaires qui ont témoigné sur un forum aujourd’hui supprimé volontairement va dans ce sens.
Quand on déracine que l’on affame un petit être innocent et qu’on le frappe journellement, on détruit sa vie!.
Car croyez-moi, on ne se remet pas de tels sévices, on ne se reconstruit jamais!.
Maurice que vous connaissez tous ne recule devant rien tant l’existence l’a endurci!. il se doit de mettre à votre connaissance ces faits pour que cette soi-disant conscience au service de l’enfance ne voit plus le jour!.
Mon devoir d’homme vieillissant m’oblige à raconter ce que fut en ce début de cinquième république la souffrance d’enfants placés dans le centre hélios marin de Biarritz.
Les plus jeunes avaient de 2 ans à 6 ans les plus âgés de 6 ans à 12 ans.
Mettre en ces lieux des enfants de corpulence chétive (soi-disant) afin de leur permettre de prendre du poids, voilà le but recherché par les services sociaux de l’époque.
La fondation agréée par le ministère de la santé paraissait bien belle vue de l’extérieur, malheur à l’enfant sans défense qui était placé à l’intérieur!.
Je raconte mon histoire en plusieurs épisodes sur le site enfin, ce dont je me souviens car la principale préoccupation du pouilleux crasseux malingre et chétif que j’étais devenu en rentrant chez-moi après de longs mois de détention fut d’éclipser de sa mémoire à jamais cette très mauvaise expérience liée à sa jeune vie brisée.
Ils sont légion ceux qui ont souffert â deux pas de l’océan, sans avoir le plaisir d’en profiter, les vagues chargées en larmes inlassablement frapperont leur âme meurtrie.
J’ai recueilli grâce à un ami les pages d’un premier procès à l’encontre du président fondateur de ce lieu maudit.
Monsieur E. Mendelssonh a remis le couvert moins de deux décennies plus tard la similitude des faits par rapport à ceux que j’ai connu me conduit à vous soumettre quelques articles de presse relatant les conditions d’incarcération des pauvres bambins aux mains de leurs bourreaux.
Croyez bien que je pèse ici mes mots et l’ensemble des petits pensionnaires qui ont témoigné sur un forum aujourd’hui supprimé volontairement va dans ce sens.
Quand on déracine que l’on affame un petit être innocent et qu’on le frappe journellement, on détruit sa vie!.
Car croyez-moi, on ne se remet pas de tels sévices, on ne se reconstruit jamais!.
Maurice que vous connaissez tous ne recule devant rien tant l’existence l’a endurci!. il se doit de mettre à votre connaissance ces faits pour que cette soi-disant conscience au service de l’enfance ne voit plus le jour!.
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