Quand on dit bonne année c’est un vœu pour prédire
Ainsi parfois, nous pouvons prévoir l’avenir,
Car toujours certains évènements se répètent
Je vous les décris ici en mode prophète.
Petite bruine qui embaume le jardin
Tombe sur la rose de la Saint Valentin,
Abreuve donc de ton eau cette jolie fleur
Que je puisse l’offrir à l’élue de mon cœur.
Quand le jour revient à la hauteur de la nuit
La lumière renvoie l’obscurité au tapis,
Dame nature dirige ce match de boxe
Mais ne tranche pas, c’est le jour de l’équinoxe.
Il ne se pêche pas dans l’eau mais dans le dos
Se nourrissant de tout même du quiproquo,
Sans le voir, la fausse nouvelle se profile
Laissant place alors au fameux poisson d’avril.
Dans chaque rue, sur des établis de fortune
Vendu par de beaux brins de filles sans fortune,
Il diffuse son léger parfum délectable
Au sein des maisons d’ouvriers et de notables.
A chaque coin de rue se trouve un instrument
La musique ce soir, ornent les monuments
Sous le crépuscule, la pierre émet un son
La magie opère ainsi, place à l’émotion.
Pour te voir en juillet, je ferai un détour
J’aime la ferveur qui jalonne ton parcours,
Alors chaque été j’attends avec impatience
Ton retour sur les charmantes routes de France.
Adieu vieux, chiens, morpions qui gémissent sans cesse
Ils finissent comme certains de leur espèce,
Abandonnés sur le pourtour de l’autoroute
Par des gens dont la moralité s’est dissoute.
Ding ding dong, et revoici la cloche qui sonne
Dans la cour brusquement il n’y a plus personne
Le calme règne alors au milieu de la place
Les enfants ont repris le chemin de la classe.
Fantômes et monstres pullulent en patrouille
Dans les quartiers illuminés par des citrouilles,
La nuit sera longue pour les fesse-mathieux
Un bonbon ou un sort crient en chœur les morveux.
Au pied des tombes où gisent nos disparus
Quand on pense à tout ce chemin parcouru,
Comment témoigner encore à tous ceux qu’on aime
Si ce n’est que de poser là ces chrysanthèmes.
La fête bat son plein en ce soir de Noël
Près du sapin pour achever ce cycle annuel
On s’offre un présent pour orner un futur
Qu’on voudrait plus clément, c’est un vœu qui rassure.
Ainsi parfois, nous pouvons prévoir l’avenir,
Car toujours certains évènements se répètent
Je vous les décris ici en mode prophète.
Petite bruine qui embaume le jardin
Tombe sur la rose de la Saint Valentin,
Abreuve donc de ton eau cette jolie fleur
Que je puisse l’offrir à l’élue de mon cœur.
Quand le jour revient à la hauteur de la nuit
La lumière renvoie l’obscurité au tapis,
Dame nature dirige ce match de boxe
Mais ne tranche pas, c’est le jour de l’équinoxe.
Il ne se pêche pas dans l’eau mais dans le dos
Se nourrissant de tout même du quiproquo,
Sans le voir, la fausse nouvelle se profile
Laissant place alors au fameux poisson d’avril.
Dans chaque rue, sur des établis de fortune
Vendu par de beaux brins de filles sans fortune,
Il diffuse son léger parfum délectable
Au sein des maisons d’ouvriers et de notables.
A chaque coin de rue se trouve un instrument
La musique ce soir, ornent les monuments
Sous le crépuscule, la pierre émet un son
La magie opère ainsi, place à l’émotion.
Pour te voir en juillet, je ferai un détour
J’aime la ferveur qui jalonne ton parcours,
Alors chaque été j’attends avec impatience
Ton retour sur les charmantes routes de France.
Adieu vieux, chiens, morpions qui gémissent sans cesse
Ils finissent comme certains de leur espèce,
Abandonnés sur le pourtour de l’autoroute
Par des gens dont la moralité s’est dissoute.
Ding ding dong, et revoici la cloche qui sonne
Dans la cour brusquement il n’y a plus personne
Le calme règne alors au milieu de la place
Les enfants ont repris le chemin de la classe.
Fantômes et monstres pullulent en patrouille
Dans les quartiers illuminés par des citrouilles,
La nuit sera longue pour les fesse-mathieux
Un bonbon ou un sort crient en chœur les morveux.
Au pied des tombes où gisent nos disparus
Quand on pense à tout ce chemin parcouru,
Comment témoigner encore à tous ceux qu’on aime
Si ce n’est que de poser là ces chrysanthèmes.
La fête bat son plein en ce soir de Noël
Près du sapin pour achever ce cycle annuel
On s’offre un présent pour orner un futur
Qu’on voudrait plus clément, c’est un vœu qui rassure.