Le village s'éveille doucement sur un matin nouveau,
Au loin s'élève la douce mélodie des fou-rires des enfants,
Leurs cheveux s'emmêlent à la caresse du vent,
Aujourd'hui, il fera beau et chaud.
Le soleil, pareil à une auréole jaunie sur un ciel encore voilé,
Annonce l'arrivée du printemps,
Muguets et Jacinthes dansent tel des vagues dans les champs,
Les oiseaux forment une farandole ailée.
Au-delà de l'horizon, à l'ombre d'un cerisier,
Un clown au teint de porcelaine
Et au parfum de verveine
Verse une larme d'or dans un puits déjà mouillé.
En courant il a rencontré une pierre,
Sa charrette s'est fendue et lui, est tombé,
Son bouquet de roses s'est envolé,
Il en est très peu fier.
Non loin de là près d'une mare,
On entend chanter les mouettes,
Un cygne, avec élégance, avance sa fine silhouette,
Se sera lui le dissipateur des pires cauchemars.
Au loin s'élève la douce mélodie des fou-rires des enfants,
Leurs cheveux s'emmêlent à la caresse du vent,
Aujourd'hui, il fera beau et chaud.
Le soleil, pareil à une auréole jaunie sur un ciel encore voilé,
Annonce l'arrivée du printemps,
Muguets et Jacinthes dansent tel des vagues dans les champs,
Les oiseaux forment une farandole ailée.
Au-delà de l'horizon, à l'ombre d'un cerisier,
Un clown au teint de porcelaine
Et au parfum de verveine
Verse une larme d'or dans un puits déjà mouillé.
En courant il a rencontré une pierre,
Sa charrette s'est fendue et lui, est tombé,
Son bouquet de roses s'est envolé,
Il en est très peu fier.
Non loin de là près d'une mare,
On entend chanter les mouettes,
Un cygne, avec élégance, avance sa fine silhouette,
Se sera lui le dissipateur des pires cauchemars.
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