D’entre les feuilles d’un arbre j’avais vu.
Une perle qui frémissait, que je n’avais pu,
Atteindre, ce jour qui m’était accalmie.
J’ai su celle qui me tirait de mon agonie.
Le cœur avait frappé aux portes du sort.
Clamant violemment son droit d’aimer.
Qu’avais-je fais pour ne dire ce tort.
Et m’enivrer d’un si bel élan de fée.
Mon grand amour je ne savais qu’un jour.
Me tendrait sa main pour me dénuder,
De mon orgueil, qu’elle avait profané.
Par tant de douceur même de candeur.
Belle, dansant légèrement sur l’arc rose.
Chatouillant les lames sensibles de mon éros.
J’écris par la même plume celle que j’accuse.
D’être la femme qui incarne ma muse.
J’ai su celle qui me tirait de mon agonie.
Le cœur avait frappé aux portes du sort.
Clamant violemment son droit d’aimer.
Qu’avais-je fais pour ne dire ce tort.
Et m’enivrer d’un si bel élan de fée.
Mon grand amour je ne savais qu’un jour.
Me tendrait sa main pour me dénuder,
De mon orgueil, qu’elle avait profané.
Par tant de douceur même de candeur.
Belle, dansant légèrement sur l’arc rose.
Chatouillant les lames sensibles de mon éros.
J’écris par la même plume celle que j’accuse.
D’être la femme qui incarne ma muse.