Par l’une de ces belles journées
Que le vent de l’automne balaye,
La nature découvre dans la prospérité
Le fruit d’une passion qui s’élève.
Cette fleur que la rosée nourrit,
En larmes et que le soleil sèche,
Croît jours après jours, nuits après nuits
Et devient, du bouton, rose fraîche.
Fleuriste, j’ai connu des bouquets,
Mais aucune rose n’était comme toi :
Unique, belle, pleines de qualités,
Et j’en profité pour, ce jour-là,
Te souhaiter de ma plume salutaire
Un joyeux seixième anniversaire.
Que le vent de l’automne balaye,
La nature découvre dans la prospérité
Le fruit d’une passion qui s’élève.
Cette fleur que la rosée nourrit,
En larmes et que le soleil sèche,
Croît jours après jours, nuits après nuits
Et devient, du bouton, rose fraîche.
Fleuriste, j’ai connu des bouquets,
Mais aucune rose n’était comme toi :
Unique, belle, pleines de qualités,
Et j’en profité pour, ce jour-là,
Te souhaiter de ma plume salutaire
Un joyeux seixième anniversaire.