Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web.
Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait.

  • Visiteur, merci de ne pas poster plus de 5 poèmes par jour. Ceci dans le but d'améliorer la visibilité du site.

Jour d'été

#1
Tu es seule, sur le bord d'un quai,
Sur ta peau, chaud soleil d'été,
Seule, a révasser,
Belle, luxuriante journée d'été...
A tes oreilles, le chant des oiseaux,
Sous tes pieds, la fraicheur de l'eau,
La nature ainsi te berce avec douceur,
Et passent les minutes, passent les heures...
Moi, je suis tout près, a te regarder,
Heureux que je suis d'être ainsi privilègier,
Je n'ose pas encore m'approcher,
De peur que cet instant magique en soit terminé...
Puis, enfin, le courage me venant,
Je m'approche de toi lentement, frissonnant,
Tu me jette un coup d'oeil rapide, tu m'as reconnue,
Mais tu n'oses pas parler, et moi non plus...
Je m'agenouille derriere toi sur le quai,
Et tout doucement, ma main ose approcher,
De ta nuque dont j'ai tant rêver,
Je te touche enfin, je vois tes yeux se fermer...
Me sentant ainsi accepter,
Je me penche sur toi, pour t'embrasser,
Je te sens, sous ma bouche, frisonner,
Mes tes levres entre ouverte me disent que je peux continuer...
Tout doucement, je défait tes vêtements,
Et quand tu es toute nue, sur le quai je t'étend,
Tu es si belle, ainsi offerte, sous se soleil d'été,
Qu'une vie entière ne pourrais pas m'en saouler...
Je caresse tes cheveux et ton front,
Ton petit sourire m'indique que tu aimes la sensation,
Mes mains, plus ardies, dessendent alors sur tes seins,
Que je caresse tendrement, on se sens si bien...
Je sens la chaleur du soleil sur ta peau nue,
Et de caresser ta poitrine ainsi, je me sens éperdu,
Je me penche a nouveau sur toi pour gouter ce fruit défendu,
Alors que ta main caresse ma nuque de facon détendue...
Je ne peux plus résister et ma soif de toi a augmenter,
Je dessend vers tes reins pour aller m'y abreuver,
Toi, devinant mes intimes pensées,
Tu m'aides gentiement par tes cuisses écartés...
Alors que ma langue te goute pour la premiere fois,
C'est un frisson "tsunami" qui s'empare de toi,
Même ton silence timide deviens éloquent,
Par tes soupirs, tu me récompense de ton émois...
J'aime ton goût et ta chaleur,
Et ainsi, je pourrais rester des heures,
A te caresser, te taquiner, te faire languir,
Mais en cet instant, je ne peux plus me retenir...
Je te fait l'amour lentement avec ma langue au fond de toi,
En ces vas et viens régulier qui te causent fort émois,
De plus en plus rapides, de plus en plus profond,
Je crois toucher jusqu'a ton âme en ce puit sans font...
Au moment suprème ou tu oublie même le soleil d'été,
Qui avec moi n'as de cesse de te caresser,
A ce moment bénie ou j'ai enfin réeussi,
A te faire trembler de tout tes membres si jolis,
Un seul mot de toi, un seul long cris,
Dans un soupirs puissant, tu me dit "merci"...
FIN