JOLIE FORET D’AUTOMNE
Pour changer d’atmosphère,
Déguster un grand bol d’air,
Venez avec moi, à l’orée du bois,
Dès l’aurore quand le soleil flamboie.
Emmène-moi au cœur d’immenses forêts,
Où l’homme aime se ressourcer,
Forêt de Fontainebleau ou de Barbizon,
Bordée de châteaux et de beffrois,
Non loin de la vallée des rois,
Je te dirais tout simplement,
Que tu es charmante en toutes saisons.
Tes feuilles dorées tourbillonnant,
Dessinent dans le ciel des boucles d’or.
Dans tes grands chênes verdoyants,
S’élançant fiers vers le firmament,
Se nichent les petits oiseaux,
Qui gazouillent du crépuscule à l’aurore.
Longeant les lacs et les ruisseaux,
Combien de générations d’amoureux transis,
Sont venus gravés leurs initiales,
Sur tes écorces, des messages alanguis,
Resterons gravées, à jamais dans les anales.
Dans ton décor champêtre,
Tous les animaux sont à la fête ;
Les écureuils vifs et sauvages,
Balayent tout sur leur passage,
Avec leurs queues en panache,
Ils semblent jouer à cache-cache.
Je suis émerveillée de tant de beauté.
Dans les buissons verts et bleutés,
Se faufile une musaraigne,
Au milieu des marrons et des châtaignes,
Allongée sur un tapis de mousse,
Le museau en l’air, elle se trémousse,
Se prélasse dans ce paysage de verdure.
Où l’on y cueille des marrons et des mûres.
Jolie forêt, douce forêt de notre enfance,
A chaque saison, tu changes d’apparence,
Rouges écarlate sont les airelles,
Qui poussent dans ton petit bois surnaturel.
Chargés de mille senteurs, tu nous grises,
De tant de gourmandises,
De tant de douceurs, nos lippes en frissonnent.
Sans nous rassasier,
Nous remplissons nos paniers,
En cette fin d’automne.
Pour changer d’atmosphère,
Déguster un grand bol d’air,
Venez avec moi, à l’orée du bois,
Dès l’aurore quand le soleil flamboie.
Emmène-moi au cœur d’immenses forêts,
Où l’homme aime se ressourcer,
Forêt de Fontainebleau ou de Barbizon,
Bordée de châteaux et de beffrois,
Non loin de la vallée des rois,
Je te dirais tout simplement,
Que tu es charmante en toutes saisons.
Tes feuilles dorées tourbillonnant,
Dessinent dans le ciel des boucles d’or.
Dans tes grands chênes verdoyants,
S’élançant fiers vers le firmament,
Se nichent les petits oiseaux,
Qui gazouillent du crépuscule à l’aurore.
Longeant les lacs et les ruisseaux,
Combien de générations d’amoureux transis,
Sont venus gravés leurs initiales,
Sur tes écorces, des messages alanguis,
Resterons gravées, à jamais dans les anales.
Dans ton décor champêtre,
Tous les animaux sont à la fête ;
Les écureuils vifs et sauvages,
Balayent tout sur leur passage,
Avec leurs queues en panache,
Ils semblent jouer à cache-cache.
Je suis émerveillée de tant de beauté.
Dans les buissons verts et bleutés,
Se faufile une musaraigne,
Au milieu des marrons et des châtaignes,
Allongée sur un tapis de mousse,
Le museau en l’air, elle se trémousse,
Se prélasse dans ce paysage de verdure.
Où l’on y cueille des marrons et des mûres.
Jolie forêt, douce forêt de notre enfance,
A chaque saison, tu changes d’apparence,
Rouges écarlate sont les airelles,
Qui poussent dans ton petit bois surnaturel.
Chargés de mille senteurs, tu nous grises,
De tant de gourmandises,
De tant de douceurs, nos lippes en frissonnent.
Sans nous rassasier,
Nous remplissons nos paniers,
En cette fin d’automne.