Ce soir dans la pénombre,
Je suis face à mon ombre,
Je prends concience que je me suis effacée,
Je vis, tel un automate, aux gestes saccadés.
J'avais oublié que j'existais,
Que tout ce monde me regardait,
Noyée par mes émotions,
De côté y ai laissé mes passions.
Surprise par tant de lâcheté,
J'ai pris mon coeur à deux mains,
Pour y déposer quelques refrains,
Y gommer un peu de mon passé.
Même si le passé ne s'efface pas,
Il demeure l'essence du jour à venir,
Je me dois donc d'être moi,
En toute sincérité, sans me retenir.
Cette nuit, mon coeur m'a alerté,
Mon passé m'est revenu,
Tendrement subjuguée par tant de vérités,
Je me suis mise à nu.
Dans le placard de mes passions,
J'y ai relu tant de sensations,
Confrontée à la réalité, je m'étais égarée,
Je réalise que j'existe, je n'ai su que pleurer.
Mais une petite voix au fond de moi me dit,
Que je suis toujours là pour mes amis,
Que mon coeur s'ouvre pour eux avec douceur,
Les voir sourire m'emplit de bonheur.
Je suis face à mon ombre,
Je prends concience que je me suis effacée,
Je vis, tel un automate, aux gestes saccadés.
J'avais oublié que j'existais,
Que tout ce monde me regardait,
Noyée par mes émotions,
De côté y ai laissé mes passions.
Surprise par tant de lâcheté,
J'ai pris mon coeur à deux mains,
Pour y déposer quelques refrains,
Y gommer un peu de mon passé.
Même si le passé ne s'efface pas,
Il demeure l'essence du jour à venir,
Je me dois donc d'être moi,
En toute sincérité, sans me retenir.
Cette nuit, mon coeur m'a alerté,
Mon passé m'est revenu,
Tendrement subjuguée par tant de vérités,
Je me suis mise à nu.
Dans le placard de mes passions,
J'y ai relu tant de sensations,
Confrontée à la réalité, je m'étais égarée,
Je réalise que j'existe, je n'ai su que pleurer.
Mais une petite voix au fond de moi me dit,
Que je suis toujours là pour mes amis,
Que mon coeur s'ouvre pour eux avec douceur,
Les voir sourire m'emplit de bonheur.