VAGABONDAGES
Quand mon cœur s’emballe et s’oppresse,
Sous tes mains chaudes de caresses,
Dans un excès de fièvre et d’envoûtement,
Du regard, tu me déshabilles langoureusement.
Puis tu me transportes dans tes bras, jusqu’à notre lit.
Ta bouche me mordille avec envie,
Tes mains caressantes ont réveillé des désirs oubliés.
J’ai faim de toi et j’ai envie de me rassasier.
De ces moments où je me glisse dans ton cou,
Et me réfugie dans ton gazon si doux,
Je ronronne comme un bébé repu,
Blottie dans ta poitrine velue.
Puis je m’aventure au creux de tes reins,
Où tu me tiens prisonnière de tes mains,
Tes mains glissent sur mon mont Vénus,
Pour me faire frémir, de tes mille astuces.
Nos lèvres se cherchent et se croisent,
Ta bouche gourmande s’arrête sur mes sein,
Mes seins offerts comme un dessin,
Qui ne demandent qu’à prendre du plaisir,
Je réponds furtivement à tes humbles désirs,
Mon corps tout entier n’est que turbulences,
Je succombe à toutes tes avances,
Sous la lumière de l’abat-jour tamisé,
Quand mon cœur s’emballe et s’oppresse,
Sous tes mains chaudes de caresses,
Dans un excès de fièvre et d’envoûtement,
Du regard, tu me déshabilles langoureusement.
Puis tu me transportes dans tes bras, jusqu’à notre lit.
Ta bouche me mordille avec envie,
Tes mains caressantes ont réveillé des désirs oubliés.
J’ai faim de toi et j’ai envie de me rassasier.
De ces moments où je me glisse dans ton cou,
Et me réfugie dans ton gazon si doux,
Je ronronne comme un bébé repu,
Blottie dans ta poitrine velue.
Puis je m’aventure au creux de tes reins,
Où tu me tiens prisonnière de tes mains,
Tes mains glissent sur mon mont Vénus,
Pour me faire frémir, de tes mille astuces.
Nos lèvres se cherchent et se croisent,
Ta bouche gourmande s’arrête sur mes sein,
Mes seins offerts comme un dessin,
Qui ne demandent qu’à prendre du plaisir,
Je réponds furtivement à tes humbles désirs,
Mon corps tout entier n’est que turbulences,
Je succombe à toutes tes avances,
Sous la lumière de l’abat-jour tamisé,