J’ai regardé le ciel, tu n’y étais pas
Seuls, les oiseaux flammés, le parcourait.
Tu sais, ceux dont l’imprudence folle
A fait roussir leurs ailes, aux chauds rayons?
Parfois, je me sens si près de toi
Que j’en tremble de mille frissons.
Dans le reflet de la rivière
Je pourrais presque t’y voir, tu sais
Peut-être déposes-tu ton âme
Sur le calme lit des eaux claires?
Peut-être est-ce ton chant que j’entends
Sous le roulement des vagues qui m’endorment
Souvent, par soir étoilé
Je fixe le ciel, pour te trouver
Mais je ne vois que ces oiseaux flammés
Qui s’égaient de l’immensité
Qu’on leur a accordé, un jour trop tôt
Seuls, les oiseaux flammés, le parcourait.
Tu sais, ceux dont l’imprudence folle
A fait roussir leurs ailes, aux chauds rayons?
Parfois, je me sens si près de toi
Que j’en tremble de mille frissons.
Dans le reflet de la rivière
Je pourrais presque t’y voir, tu sais
Peut-être déposes-tu ton âme
Sur le calme lit des eaux claires?
Peut-être est-ce ton chant que j’entends
Sous le roulement des vagues qui m’endorment
Souvent, par soir étoilé
Je fixe le ciel, pour te trouver
Mais je ne vois que ces oiseaux flammés
Qui s’égaient de l’immensité
Qu’on leur a accordé, un jour trop tôt