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Je suis libre de ......

Polymnie2

Maître Poète
#1


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Sujet du concours : Je suis libre de ......

Libre « en liberté » !

Oui ! oui, je me sens libre de tout faire, MAIS …….
surtout de respecter Autrui
_______



Libre de mouvements, libre de mes pensées,
Libre d’agir, je peux respirer l’air enfin !
Cet aérien soupire ancré dans la Sensée,
Un savoir-vivre inné, sur velours extrafin !


La liberté sensible, Ô l’indéfinissable !
Prenant partout naissance au destin infini,
Elle a ses garde-fous, et des lois punissables
En protection de l’homme, Être n’est pas fini*!


En chacun d’entre nous, la part d’autrui existe
Sans pourtant se sentir limité, sentiment
Étant élastique et son usufruit assiste
A l’unisson d’Amour, éternel firmament !


Ce qu’Esprit ou main donne en liberté secrète,
C’est l’aire de chacun, un espace vital
Qui fait tourner le monde et dans toutes les têtes
Amour pour seul refrain sur beau chant pastoral !


Polymnie2, juin 2017



En ce sens, que l’homme a besoin d’être protégé pour lui-même,
pour et à cause des uns des autres
Amour = répétition voulue.
Garde-fous toutes les attentions personnelles à donner

qui font partie de notre héritage



 
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Vega46

Maître Poète
#4
Oui une liberté quand même de plus en plus conditionnée hélas.

Je me sentais beaucoup plus libre au début des années 70.

Plus on avance dans le temps et plus l’étau se resserre sur une liberté qui ne sera un jour plus qu’illusion.

Ce jour est proche j’ai beaucoup de mal aujourd’hui à parler de liberté d’égalité et de fraternité, je me demande avec anxiété si ces valeurs ont existé si elles ne font pas parti d’un mythe inventé par l’homme pour l’homme, pour qu’il se rassure !.

L’oiseau est libre et encore !.

Bises Momo le clochard au cerveau crasseux
 
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Polymnie2

Maître Poète
#5
Ne jamais faire aux truies ce que l'on voudrait que l'on nous fasse félicitations
Effectivement,
c'est la première règle
la plus proche de soi(e)
à respecter
car
sinon
elle serait, marcher
sur sa propre liberté morale
et profiter de la nôtre
à mauvais escient!

merci Coqhardi
Amitiés
Poly​
 
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Polymnie2

Maître Poète
#6
[QUOTE="Prosateur, post: 966453, member: 89049"
]On a le droit de jouir de notre liberté tant qu'elle ne nuit pas à autrui
en tenant compte des garde-fous et en respectant les lois comme cité dans le poème.
Belle et judicieuse réflexion!
Bises Prosateur[/QUOTE]

Merci Prosateur
tu as bien vu l'écriture
que j'explique ici car
c'est un extrait que
ce poème ne
pouvait pas
détailler!
En effet, la liberté
personnelle doit justement
être élastique, car elle ne calcule
pas son propre profit dans sa distribution!
Nous la rendons plus large en ses domaines
suivant chacun, savoir se gêner pour l'autre.
C'est une finesse qu'elle apporte
pour harmoniser l'entente, il
faut souvent céder cette
dernière qualité aux
garde-fous, c'est
la différence
existante
entre
les humains!
c'est ce que j'appelle :
Ce qu’Esprit ou main donne en liberté secrète,

Bises Poly​
 
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Polymnie2

Maître Poète
#8
Oui une liberté quand même de plus en plus conditionnée hélas.

Je me sentais beaucoup plus libre au début des années 70.

Plus on avance dans le temps et plus l’étau se resserre sur une liberté qui ne sera un jour plus qu’illusion.

Ce jour est proche j’ai beaucoup de mal aujourd’hui à parler de liberté d’égalité et de fraternité, je me demande avec anxiété si ces valeurs ont existé si elles ne font pas parti d’un mythe inventé par l’homme pour l’homme, pour qu’il se rassure !.

L’oiseau est libre et encore !.

Bises Momo le clochard au cerveau crasseux
Momo, mon Clochard Crasseux
Ce sujet
je ne pouvais
l'aborder en ton sens
car nous avions déjà écrit
sur ta question
en concours.
Par contre
j'ai un
poème
sur ta proposition.
Oui, elles ont été inventées
par l'homme pour l'homme, pour
symboliser ce que la morale ne pouvait
traduire chez l'homme, surtout en
ce qui concerne, la Liberté
très fragile car on ne
peut définir où elle
commence et ou
elle finit:
Rien n'est palpable
et elle est indéfinissable!
Elle ne la jamais été du reste!
Tu sais combien certains en usent
combien certains de ce fait
en manquent!
l'homme en
général est un égoïste
tu es bien placé pour le savoir!
Plus rien n'est à sa place
chacun tire vers soi
son bien-être
au détriment
du social!
Ton oiseau est tentant
mais le désordre serait encore pire!
Rien n'arrêtera l'homme
l'éternel pleurnichard!
l'éternel inassouvi!
au détriment de
l'inassouvi
même!!

Bises d'amitié, mon Clochard,
Poly


 
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Polymnie2

Maître Poète
#9
Je résumerai en un seul mot. Il nous reste a liberté de PENSER
Oui, mais la penser doit être
agissante en sortant de son silence!
Sinon penser pour penser serait anéantir
l'Esprit de son savoir, de son partage indispensable!
Ne revenons pas au supplice de la guerre où nos
parents ne pouvaient parler! chacun se méfiait
de chacun sinon ils payaient cher un mot de
trop ou un mot manquant!
Il vaut mieux la franchise qui est
encore à la disposition de chacun et à
volonté, du moment que le respect est présent!
Chacun sait qu'il y a intérêt à ne pas entamer des
discussions intimes qui ne regardent que soi, pour ne pas
entraver la sensibilité de la libre pensée,
c'est ce que l'on appelle
la bienséance ou la bienveillance
pour autrui, délicatesse
gratuite!

Merci à toi pour cette sortie
mais elle seule ne pouvait définir tout le sujet,
sans tout le reste elle ne peut
fonctionner car c'est
un partage
entier

Poly​
 
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Polymnie2

Maître Poète
#14
Très bel écrit. Qui apporte à réflexion.

Ma liberté étant mienne et étant une solitaire de nature (Oui vaut mieux être seul que mal accompagné), dans ce cas là, la mienne ne risque pas de porter atteinte et je respecte celle des autres. Sauf si la leur doit étouffer la mienne. Là, par contre je pourrai montrer les crocs.

Bises Poly.

Marie combien je te comprends, parfois il y a des êtres qui étouffent
tout en étant charmants ils indisposent!
un peu ça va, quand j'en ai un , à table je le mets à côté d'une bavarde
et j'ai la paix!!!!!!!!!!

Bises et merci pour ton partage,
Poly, ce 2 mai 2018
 
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#18
Je m'appelais liberté

Il fut des matins pour dire sans âme,
Entre jour et nuit d'un parfum chagrin
De rose éthére cependant d'un brin
D'espoir, croyez-vous je pleure madame ;

Du mai, je le crois mon combat s'enflamme,
Déborde et de noir s'en écrit d'airain
Le blanc du muguet ; oui juste d'un grain
Qui luit au papier que l'on change en flamme ;

Humain dussè-je l'espérer ! ses fins ;
L'odeur des blés mûrs même des confins
Du faix des armes rougissant la terre !

Je nais aujourd'hui mais pourtant je meurs
D'hier et demain ! La guerre et des pleurs
Oubliez liberté ; n'ai plus qu'à me taire...

Décasyllabe /poème en prose