25 oct. 11
Je pleure sur la feuille
Des larmes, des écueils
Vécues dans le monde qui s’écaille,
C’est la moiteur d’acier qui tiraille
Mon cœur ne voulant boire
La bonne parole du Vizir,
De ce bonhomme qui déroulent tous mes désirs.
Je pleure l’eau salvatrice dans un monde dégarnis
Distraitement, rapidement, de tous sentiments,
Rangés dans mon corps et seul inanité dans le néant,
Je tue le temps, et tombe écorché plein de vie ;
La sollitude comme une rose avec le temps
Se forme, se laisse éclose, puis enfin dirais-je rose,
Le bout des doigts saignés par la belle innocente.
____
Je pleure sur la feuille
Des larmes, des écueils
Vécues dans le monde qui s’écaille,
C’est la moiteur d’acier qui tiraille
Mon cœur ne voulant boire
La bonne parole du Vizir,
De ce bonhomme qui déroulent tous mes désirs.
Je pleure l’eau salvatrice dans un monde dégarnis
Distraitement, rapidement, de tous sentiments,
Rangés dans mon corps et seul inanité dans le néant,
Je tue le temps, et tombe écorché plein de vie ;
La sollitude comme une rose avec le temps
Se forme, se laisse éclose, puis enfin dirais-je rose,
Le bout des doigts saignés par la belle innocente.
____