redif pour le plaisir.
.2013
sur 2500 textes
voici la Numéro 2 "de ma préférence "
Je pensais que vieillir me rendrait bien maussade,
Craignant chaque saison les années ,le tapage,
Le grand vent et la pluie, l'esprit qui se dégrade,
Les cheveux clairsemés, les rides du visage.
Et puis je m'aperçois que vieillir n'a pas d'âge,
Qu'il ne faut pas gémir,au contraire chanter,
Et même à petits pas ,les jours ont l'avantage,
D'âtre beaux et trop courts, quand ils sont limités.
Je pensais que vieillir c'était le ciel tout gris,
Le printemps sans les fleurs, les lèvres sans sourire,
Les fêtes sans les chansons , les arbres rabougris,
Un livre sans histoire, un crayon sans écrire.
Et puis je m'aperçois que vieillir rend bien sage,
Que je vis chaque instant sans penser à demain,
Que je en compte plus les années de mon âge,
Peu importe le temps ,le crayon à la main.
Je pensais que vieillir transformerai mon âme,
Que je ne saurais plus contempler les étoiles,
Que mon coeur endurci, n'aurait plus cette flamme,
Qui transforme la Vie lorsque le ciel se voile.
Et puis je m'aperçois que les plus belle roses
Fleurissent à l'automne et sous mes yeux ravis,
Je respire très fort ce doux parfum que j' ose
Garder , pour embaumer l'automne de ma Vie...
.2013
sur 2500 textes
voici la Numéro 2 "de ma préférence "
Je pensais que vieillir me rendrait bien maussade,
Craignant chaque saison les années ,le tapage,
Le grand vent et la pluie, l'esprit qui se dégrade,
Les cheveux clairsemés, les rides du visage.
Et puis je m'aperçois que vieillir n'a pas d'âge,
Qu'il ne faut pas gémir,au contraire chanter,
Et même à petits pas ,les jours ont l'avantage,
D'âtre beaux et trop courts, quand ils sont limités.
Je pensais que vieillir c'était le ciel tout gris,
Le printemps sans les fleurs, les lèvres sans sourire,
Les fêtes sans les chansons , les arbres rabougris,
Un livre sans histoire, un crayon sans écrire.
Et puis je m'aperçois que vieillir rend bien sage,
Que je vis chaque instant sans penser à demain,
Que je en compte plus les années de mon âge,
Peu importe le temps ,le crayon à la main.
Je pensais que vieillir transformerai mon âme,
Que je ne saurais plus contempler les étoiles,
Que mon coeur endurci, n'aurait plus cette flamme,
Qui transforme la Vie lorsque le ciel se voile.
Et puis je m'aperçois que les plus belle roses
Fleurissent à l'automne et sous mes yeux ravis,
Je respire très fort ce doux parfum que j' ose
Garder , pour embaumer l'automne de ma Vie...