Je suis sur ce divan, à siroter un verre
Quand soudain apparaît dans un fourreau satin
Aussi rouge et tentant que ses lèvres carmin
Le joyau de ce lieu : « Le bordel de l’enfer. »
Lentement elle s’approche d’un pas altier et fier.
Cette beauté sublime du Siam ou du Tonkin
Doucement de ses doigts me caresse la main
Tout en me susurrant « laisse donc Lucy faire… »
Alors, cheveux défaits et mi-clos les paupières,
Elle entame un strip-tease on ne peut plus coquin
Tout en se déhanchant sur ces hauts escarpins
Je suis émoustillé, je laisse Lucy faire…
Au rythme du saxo, elle remue son derrière,
Elle se penche sur moi et du bout de ses seins
Effleure mon visage, alors ses jolies mains
Dégrafent ma chemise, je laisse Lucy faire…
Puis dans un geste lent mais néanmoins expert
Elle me débraguette et avec l’autre main
Commence à caresser mon vigoureux engin
Je suis au paradis, je laisse Lucy faire…
Et puis, s’agenouillant devant moi, la guerrière
Me titille le gland de sa langue carmin,
Avale goulûment mon beau membre d’airain
Je contrôle toujours, je laisse Lucy faire….
Alors là brusquement, j’empoigne sa crinière,
La soulève du sol et l’empale soudain.
De longs gémissements en de grands va-et-vient
Nous ne formons plus qu’un, je laisse Lucy faire…
Avec elle à pieds joints je rejoins son enfer,
Je me voue à ses seins et à ses aréoles
Au diable tous les saints avec leurs auréoles
Dieu alors m’est témoin, je laisse Lucy faire…
Nos corps entremêlés, dans ses yeux des éclairs…
La chaleur, l’étroitesse de son petit vagin
M’irradie me submerge, là, je jouis enfin
Et je côtoie les anges j’ai laissé Lucy faire !!!
Quand soudain apparaît dans un fourreau satin
Aussi rouge et tentant que ses lèvres carmin
Le joyau de ce lieu : « Le bordel de l’enfer. »
Lentement elle s’approche d’un pas altier et fier.
Cette beauté sublime du Siam ou du Tonkin
Doucement de ses doigts me caresse la main
Tout en me susurrant « laisse donc Lucy faire… »
Alors, cheveux défaits et mi-clos les paupières,
Elle entame un strip-tease on ne peut plus coquin
Tout en se déhanchant sur ces hauts escarpins
Je suis émoustillé, je laisse Lucy faire…
Au rythme du saxo, elle remue son derrière,
Elle se penche sur moi et du bout de ses seins
Effleure mon visage, alors ses jolies mains
Dégrafent ma chemise, je laisse Lucy faire…
Puis dans un geste lent mais néanmoins expert
Elle me débraguette et avec l’autre main
Commence à caresser mon vigoureux engin
Je suis au paradis, je laisse Lucy faire…
Et puis, s’agenouillant devant moi, la guerrière
Me titille le gland de sa langue carmin,
Avale goulûment mon beau membre d’airain
Je contrôle toujours, je laisse Lucy faire….
Alors là brusquement, j’empoigne sa crinière,
La soulève du sol et l’empale soudain.
De longs gémissements en de grands va-et-vient
Nous ne formons plus qu’un, je laisse Lucy faire…
Avec elle à pieds joints je rejoins son enfer,
Je me voue à ses seins et à ses aréoles
Au diable tous les saints avec leurs auréoles
Dieu alors m’est témoin, je laisse Lucy faire…
Nos corps entremêlés, dans ses yeux des éclairs…
La chaleur, l’étroitesse de son petit vagin
M’irradie me submerge, là, je jouis enfin
Et je côtoie les anges j’ai laissé Lucy faire !!!