Au premier temps de ma vie je riais
exaltais de joie et d’allégresse j’étais
fière et sans richesse que celle de mes
parents et frères et sœurs tout aller très
bien en n’en rigoler bien puis le temps
de grandir est arriver je ne pouvais plus
fuir, mon existence ne sont n’est pas
remisse j’étais lâche de mon sortir puis
un beau jours le ciel c’est arrêter et les
nuage ce sont envolé puis la terre c’est
mise à trembler je n’avait plus d’endroit
à savoir ou aller j’étais triste et envoûter
par l’amour si seulement c’été vrai mais
quand la lune est arriver et que la pénombre
est tomber j’ai fermer les yeux par peur de
m’égarer et soudain surgit de nulle part un
mauvais bruit ce fit entendre c’était rien
qu’un bruit de pétard halloween c’était
coucher tard mais alors que le souffle court
l’ouie en alerte je ne pouvais fouir cet
bande de zombie qui à l’affront de ma
vie ne porter qu’un masque démuni peint
de larme de sang et de chair oui mais moi
j’y croyais dure comme fer et du haut de
mon salle caractère j’explosa tel un volcan
amer pour les faire fuir et ce taire et cela
marcha à merveille j’avais vaincu ma peur
et dès lors un séisme de bonheur envahie
mon corps c’était la préface de ma mort ou
alors tout simplement ma vie qui ce relança.
exaltais de joie et d’allégresse j’étais
fière et sans richesse que celle de mes
parents et frères et sœurs tout aller très
bien en n’en rigoler bien puis le temps
de grandir est arriver je ne pouvais plus
fuir, mon existence ne sont n’est pas
remisse j’étais lâche de mon sortir puis
un beau jours le ciel c’est arrêter et les
nuage ce sont envolé puis la terre c’est
mise à trembler je n’avait plus d’endroit
à savoir ou aller j’étais triste et envoûter
par l’amour si seulement c’été vrai mais
quand la lune est arriver et que la pénombre
est tomber j’ai fermer les yeux par peur de
m’égarer et soudain surgit de nulle part un
mauvais bruit ce fit entendre c’était rien
qu’un bruit de pétard halloween c’était
coucher tard mais alors que le souffle court
l’ouie en alerte je ne pouvais fouir cet
bande de zombie qui à l’affront de ma
vie ne porter qu’un masque démuni peint
de larme de sang et de chair oui mais moi
j’y croyais dure comme fer et du haut de
mon salle caractère j’explosa tel un volcan
amer pour les faire fuir et ce taire et cela
marcha à merveille j’avais vaincu ma peur
et dès lors un séisme de bonheur envahie
mon corps c’était la préface de ma mort ou
alors tout simplement ma vie qui ce relança.