La plume s'arrête la où commence l'épée du barbare,
Les anges ont les ailes brisées le soleil s'éteint,
Il est temps de refermer le livre de notre histoire,
Et de ce dire qu'il n'y aura pas de beaux lendemain...
J'essaye encore vainement de me convaincre,
D'une réalité illusoire où l'amour est vivant,
Certains sont nés pour perdre, d'autres pour vaincre,
Et je crois que j'ai bien perdu à cet instant...
Les démons de mon masque ne m'ont jamais rendu aussi Blanc,
Les espaces en mon âme laissent un tapis de varechs gluant,
Et quand j'essaye de m'échapper,
Tes gardiens viennent me torturer...
Laisse-moi, tue-moi, soigne-moi,
laisse-moi, tue-moi, soigne-moi...
Laisse ma folie guider ton âme,
Laisse ma lueur éteindre ta flamme,
Laisse mon esprit s'éteindre...
Je ne suis plus à plaindre...
Respire au grand air, inhale tes joies éphémères,
Le papillon sort de sa chrysalide,
Le corps souffrant, les yeux livides,
Et moi je suis comme lui, un fou jeté devant le regard des hommes,
Et moi je suis puni, d'une sentence qui lentement m'emprisonne....
Dis-moi pourquoi c'est encore moi,
Mais pourquoi je ressens encore ça...
Cette sensation d'inaccompli,
Alors que j'ai tout dans ma vie...
Oui j'ai tout sauf toi,
Tu es ce que je n'ai pas,
Et sans toi je n'ai rien,
Rien, pas de matins,
Juste des regrets,
Des douleurs à effacer...
Et ce sentiment s'empare de moi et me montre ce que je n'ai pas,
Et c'est un compliment d'être seul chez moi de me dire tu n'es pas là,
Et c'est une torture, contre mon oreiller les larmes sont dures...
Elles ruissellent sur mon visage,
Amorcent un autre virage...
Poeme de : Let-shadow-di poèmes
Encore toi : titre original
Les anges ont les ailes brisées le soleil s'éteint,
Il est temps de refermer le livre de notre histoire,
Et de ce dire qu'il n'y aura pas de beaux lendemain...
J'essaye encore vainement de me convaincre,
D'une réalité illusoire où l'amour est vivant,
Certains sont nés pour perdre, d'autres pour vaincre,
Et je crois que j'ai bien perdu à cet instant...
Les démons de mon masque ne m'ont jamais rendu aussi Blanc,
Les espaces en mon âme laissent un tapis de varechs gluant,
Et quand j'essaye de m'échapper,
Tes gardiens viennent me torturer...
Laisse-moi, tue-moi, soigne-moi,
laisse-moi, tue-moi, soigne-moi...
Laisse ma folie guider ton âme,
Laisse ma lueur éteindre ta flamme,
Laisse mon esprit s'éteindre...
Je ne suis plus à plaindre...
Respire au grand air, inhale tes joies éphémères,
Le papillon sort de sa chrysalide,
Le corps souffrant, les yeux livides,
Et moi je suis comme lui, un fou jeté devant le regard des hommes,
Et moi je suis puni, d'une sentence qui lentement m'emprisonne....
Dis-moi pourquoi c'est encore moi,
Mais pourquoi je ressens encore ça...
Cette sensation d'inaccompli,
Alors que j'ai tout dans ma vie...
Oui j'ai tout sauf toi,
Tu es ce que je n'ai pas,
Et sans toi je n'ai rien,
Rien, pas de matins,
Juste des regrets,
Des douleurs à effacer...
Et ce sentiment s'empare de moi et me montre ce que je n'ai pas,
Et c'est un compliment d'être seul chez moi de me dire tu n'es pas là,
Et c'est une torture, contre mon oreiller les larmes sont dures...
Elles ruissellent sur mon visage,
Amorcent un autre virage...
Poeme de : Let-shadow-di poèmes
Encore toi : titre original
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