La douleur, en moi s'installe, me hante,
Telle une lame, qui lentement se plante.
Chaque battement devient un supplice,
Chaque pensée en devient même complice...
Je ne sens plus mes forces, elles m'ont abandonné,
Il me paraît soudain difficile de me lever.
Mes membres tremblent, de ne pouvoir qu'essayer.
Je resterai donc là, bloqué, comme emprisonné...
Je ne vois plus le monde, seulement ses portes.
De mes amis, je n'aperçois que la silhouette.
J'entends ces voies, qui se disent toujours prêtes,
Et attends vainement, que l'une d'elles me réconforte...
Ainsi, dans le noir se finira cette journée,
Même si de gris, elle fut parsemée.
Lorsqu'enfin j'arriverai à fermer les yeux,
oserai-je espérer que tout ira mieux...
Telle une lame, qui lentement se plante.
Chaque battement devient un supplice,
Chaque pensée en devient même complice...
Je ne sens plus mes forces, elles m'ont abandonné,
Il me paraît soudain difficile de me lever.
Mes membres tremblent, de ne pouvoir qu'essayer.
Je resterai donc là, bloqué, comme emprisonné...
Je ne vois plus le monde, seulement ses portes.
De mes amis, je n'aperçois que la silhouette.
J'entends ces voies, qui se disent toujours prêtes,
Et attends vainement, que l'une d'elles me réconforte...
Ainsi, dans le noir se finira cette journée,
Même si de gris, elle fut parsemée.
Lorsqu'enfin j'arriverai à fermer les yeux,
oserai-je espérer que tout ira mieux...