Oui j’ai la colère, d’entendre le pov’chien
Aboyer et hurler à la mort la journée,
Dans un appartement, enfermé pas malin,
Le propriétaire, pour la bête affamée
J’ai la haine de voir qu’il ne nous aime pas
On veut l’aider, sortir le clebs pour une balade,
Le nourrir, je vais l’démolir s’il ne comprend pas !
Le con, il va goûter la bonne bastonnade.
Peux pas tolérer ça, et c’est plus fort que moi !
Aux voisines il file la trouille, tas de graisse !
Une grosse tête appelle son regard sournois,
Pas de liberté le toutou, toujours en laisse.
Le soir quand il rentre, il tourne plusieurs fois la tête
On sent le caractère à la fois ombrageux
De l’homme plein de mystère, et que rien n’arrête
Pas même les avertissements, à ce furieux.
Une pétition signée, des lettres sourdes et
Rien n’y fait, non plus l’autorité, l’est pas simple
Deux fois, deux yeux au beurre noir, pas résisté
On aime voir maintenant couler ses jours humble..
Aboyer et hurler à la mort la journée,
Dans un appartement, enfermé pas malin,
Le propriétaire, pour la bête affamée
J’ai la haine de voir qu’il ne nous aime pas
On veut l’aider, sortir le clebs pour une balade,
Le nourrir, je vais l’démolir s’il ne comprend pas !
Le con, il va goûter la bonne bastonnade.
Peux pas tolérer ça, et c’est plus fort que moi !
Aux voisines il file la trouille, tas de graisse !
Une grosse tête appelle son regard sournois,
Pas de liberté le toutou, toujours en laisse.
Le soir quand il rentre, il tourne plusieurs fois la tête
On sent le caractère à la fois ombrageux
De l’homme plein de mystère, et que rien n’arrête
Pas même les avertissements, à ce furieux.
Une pétition signée, des lettres sourdes et
Rien n’y fait, non plus l’autorité, l’est pas simple
Deux fois, deux yeux au beurre noir, pas résisté
On aime voir maintenant couler ses jours humble..