Dans un demi-sommeil, je l'ai vu apparaitre :Qu'il est grand!
Sa main cherchait la mienne, et dans ce doux ce moment
Je la lui accordais, sa chaleur transmise de sa veine à la mienne
Je revoyais son bras torsadé d'artères gonflées par les alènes
De ses efforts à tout rompre le bois , il était menuisier
Je voyais son sourire ,une dent étrange, ornementée d'or
Pour l'enfant que j'étais, il me disait: Tu vois, mon trésor /
Il se riait de moi, naïve je le croyais, il était mon angelet
Ma référence, mon modèle et ma sécurité , mon palais
Il était le courage, la force faite d'amour, il était princier
Mon Père, ne se plaignait jamais , une chanson dans la tête
Il souriait et pour me faire danser , me la jouait avec sa clarinette
Je le dévorais des yeux , le séduisais ,mes rubans dans les cheveux
Deux petites couettes blondes, qu'il appelait Carambar, un bonbon
D'orge Papa, une boule de crème, je me posais sur ses genoux cagneux
Pour écouter l'histoire de la Fée Papier , de son fils , Boîte en carton
En fait, il brodait, il inventait des contes, pour voir mes yeux de billes
Je buvais ses mots ,il m'aimait comme un fou, née après coup, sa seule fille
Ses baisers pleuvaient sur mes petites joues,j'avais froid, une laine me couvrait
Pour mes pieds l'hiver et la frilosité des draps, il passait des fers préchauffés
Je rêve souvent de lui, j'en rêverai encore, il ne me quitte,ne me quittera pas
Est-ce mon ange gardien, à présent ,j' ai grand besoin de lui et je l'implore
"Ce n'est rien me dit-il", tu vas , tu es forte, mène ton combat, ma Pucette d'Or"
Alors je ferme les yeux , l' embrasse de toute ma force , Oui, mon gentil Papa
Puisque de ton courage j'ai hérité et de ton coeur aussi , je vais vaincre et gagner
Sa main cherchait la mienne, et dans ce doux ce moment
Je la lui accordais, sa chaleur transmise de sa veine à la mienne
Je revoyais son bras torsadé d'artères gonflées par les alènes
De ses efforts à tout rompre le bois , il était menuisier
Je voyais son sourire ,une dent étrange, ornementée d'or
Pour l'enfant que j'étais, il me disait: Tu vois, mon trésor /
Il se riait de moi, naïve je le croyais, il était mon angelet
Ma référence, mon modèle et ma sécurité , mon palais
Il était le courage, la force faite d'amour, il était princier
Mon Père, ne se plaignait jamais , une chanson dans la tête
Il souriait et pour me faire danser , me la jouait avec sa clarinette
Je le dévorais des yeux , le séduisais ,mes rubans dans les cheveux
Deux petites couettes blondes, qu'il appelait Carambar, un bonbon
D'orge Papa, une boule de crème, je me posais sur ses genoux cagneux
Pour écouter l'histoire de la Fée Papier , de son fils , Boîte en carton
En fait, il brodait, il inventait des contes, pour voir mes yeux de billes
Je buvais ses mots ,il m'aimait comme un fou, née après coup, sa seule fille
Ses baisers pleuvaient sur mes petites joues,j'avais froid, une laine me couvrait
Pour mes pieds l'hiver et la frilosité des draps, il passait des fers préchauffés
Je rêve souvent de lui, j'en rêverai encore, il ne me quitte,ne me quittera pas
Est-ce mon ange gardien, à présent ,j' ai grand besoin de lui et je l'implore
"Ce n'est rien me dit-il", tu vas , tu es forte, mène ton combat, ma Pucette d'Or"
Alors je ferme les yeux , l' embrasse de toute ma force , Oui, mon gentil Papa
Puisque de ton courage j'ai hérité et de ton coeur aussi , je vais vaincre et gagner
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