J’ai embrassée ta bouche ,
L’aube venait, à peine de se lever,
Aboutir sans bruit, ton éveil couronné,
J’ai marchée sur ta route, réveillant ce sentier.
Tiède était tes lèvres ,légèrement sucrées ,
Lever milles déroutes, aux passages offusqués,
Voile de milles doutes, enfin effacés.
Tapis sur un clocher ,
Aux embruns, emmurés,
D’un réveil soyeux, aux charmes envoûtés,
Achevant milles, déroutes inachevées.
J’ai embrassée, ta bouche,
Au lever du coucher,
Boire tes lèvres ,sans doutes aux charmes, écluser.
Le pêcher inoculé ,
De ta sève engluée,
aux saveurs engorgées,
Boire à ce doux, parfum enveloppé.
Où nos corps châtiés ,
Tombèrent à la renversent, d’une allée consacrer.
L’aube venait, à peine de se lever,
Aboutir sans bruit, ton éveil couronné,
J’ai marchée sur ta route, réveillant ce sentier.
Tiède était tes lèvres ,légèrement sucrées ,
Lever milles déroutes, aux passages offusqués,
Voile de milles doutes, enfin effacés.
Tapis sur un clocher ,
Aux embruns, emmurés,
D’un réveil soyeux, aux charmes envoûtés,
Achevant milles, déroutes inachevées.
J’ai embrassée, ta bouche,
Au lever du coucher,
Boire tes lèvres ,sans doutes aux charmes, écluser.
Le pêcher inoculé ,
De ta sève engluée,
aux saveurs engorgées,
Boire à ce doux, parfum enveloppé.
Où nos corps châtiés ,
Tombèrent à la renversent, d’une allée consacrer.