ce matin , en me reveillant
l'approche que j'ai eu de toi
etait illusoire, car en me reveillant
j'ai su que j'avais rever
j'avais rever de toi, en te touchant , te carressant
je te tenais la main si fort
que rien ne pouvais , nous arriver
juste peut etre , me reveillée
comme c'est etrange , cette sentation
cette illusion, si proche
et si lointaine en meme temps
de sentir ton odeur, quel bonheur
de te serré là, contre mon coeur
mais bien vite , je me suis eveilée
car ton absence, fait a present partie de mes heures
ces longues heures pasée sans toi
et je devrais ,bien malgré moi
franchir le pas ,et me dire
tu ne seras plus jamais là
rien que pour toi francis ,mon frere adorée