J’ai tant envie d’y croire,
De me perdre dans le reflet de tes pensées,
De tout arrêter,
De tout abandonner dans le désir de ton amour.
Besoin de croire,
De vivre tout contre toi,
Envie de t’aimer encore et encore,
Dans le délice de ta peau qui me brûle,
Envie de croire,
Envie de mourir,
Pour ne plus jamais vivre au dehors
Dans le désir d’une autre vie,
Rien que pour toi,
Ne plus rien laisser au hasard du temps,
Dans l’ombre de cette vie,
De partager le même destin,
Envie de vivre dans le même désir,
Dans tes pensées,
Sous la splendeur de ton amour,
Dans tes accords de douceur qui me retiennent,
Sans peur ni reproche du lendemain.
Mes mains s’ouvrent à toi à tes désirs,
Jusqu’au bruit de tes derniers baisers,
Qui me brûlent au contact de ta peau,
Sous tes gestes de douceur,
Je serai le gardien de ton amour,
De tes envies de tes désirs,
De tes plaisirs.
Ne plus jamais laisser au temps,
Le temps de me manquer,
Le temps de pleurer dans l’ombre de ton cœur,
Dans les rives de ces rivières sous de fausses promesses,
Loin de ces ombres infidèles,
Qui sommeillent dans ces hommes,
Quand tu es loin de moi,
Quand je ne fais plus partie de tes envies,
De peur de traverser à nouveau ce long désert,
De ne plus compter sur toi
De ne plus voir le monde d’une seule et même voie,
Là où s’étouffe nos envies,
Le souffle de notre amour
De ne plus pouvoir s’aimer,
Sous le doux reflet de notre histoire,
Là où se perd l’espoir d’accomplir nos vies,
Sous la douceur de nos mots,
Là où s’achève nos routes nos rêves,
Qui se dispersent au vent,
Dans la solitude cette vie que l’on n’attend pas.
L.Deléglise
De me perdre dans le reflet de tes pensées,
De tout arrêter,
De tout abandonner dans le désir de ton amour.
Besoin de croire,
De vivre tout contre toi,
Envie de t’aimer encore et encore,
Dans le délice de ta peau qui me brûle,
Envie de croire,
Envie de mourir,
Pour ne plus jamais vivre au dehors
Dans le désir d’une autre vie,
Rien que pour toi,
Ne plus rien laisser au hasard du temps,
Dans l’ombre de cette vie,
De partager le même destin,
Envie de vivre dans le même désir,
Dans tes pensées,
Sous la splendeur de ton amour,
Dans tes accords de douceur qui me retiennent,
Sans peur ni reproche du lendemain.
Mes mains s’ouvrent à toi à tes désirs,
Jusqu’au bruit de tes derniers baisers,
Qui me brûlent au contact de ta peau,
Sous tes gestes de douceur,
Je serai le gardien de ton amour,
De tes envies de tes désirs,
De tes plaisirs.
Ne plus jamais laisser au temps,
Le temps de me manquer,
Le temps de pleurer dans l’ombre de ton cœur,
Dans les rives de ces rivières sous de fausses promesses,
Loin de ces ombres infidèles,
Qui sommeillent dans ces hommes,
Quand tu es loin de moi,
Quand je ne fais plus partie de tes envies,
De peur de traverser à nouveau ce long désert,
De ne plus compter sur toi
De ne plus voir le monde d’une seule et même voie,
Là où s’étouffe nos envies,
Le souffle de notre amour
De ne plus pouvoir s’aimer,
Sous le doux reflet de notre histoire,
Là où se perd l’espoir d’accomplir nos vies,
Sous la douceur de nos mots,
Là où s’achève nos routes nos rêves,
Qui se dispersent au vent,
Dans la solitude cette vie que l’on n’attend pas.
L.Deléglise
