Isabelle,
Était belle de l'aube au couchant.
Belle aux yeux des poètes qui suivaient sa plume,
Belle aux yeux de l'amant qui l'aime intensément.
Mais les yeux d'Isabelle étaient mouillés d'écume,
Car sa plume battait de l'aile, au poids du temps.
Le temps poussait, cruel, les années d'Isabelle,
Emportant avec lui ses rêves et ses cris.
Il soufflait ses bougies et son souffle rebelle
Éparpillait les pages de ses beaux écrits.
Et l'espoir d'Isabelle de vivre de son encre
Fuyait sous les huées du pesant quotidien.
Chaque aube revenait en infâme refrain,
Gangrénant ses projets comme le fait un chancre.
Isabelle, retourne à tes premiers émois!
N'oublie pas que les fées ne perdent pas espoir!
Le temps est assassin, mais tu es immortelle !
Je crois en tes demain, car ton âme étincelle.
Tu es une musique à nos cœurs sans mémoire.
La route est devant toi, Isabelle, suis ta voie !!
...
Était belle de l'aube au couchant.
Belle aux yeux des poètes qui suivaient sa plume,
Belle aux yeux de l'amant qui l'aime intensément.
Mais les yeux d'Isabelle étaient mouillés d'écume,
Car sa plume battait de l'aile, au poids du temps.
Le temps poussait, cruel, les années d'Isabelle,
Emportant avec lui ses rêves et ses cris.
Il soufflait ses bougies et son souffle rebelle
Éparpillait les pages de ses beaux écrits.
Et l'espoir d'Isabelle de vivre de son encre
Fuyait sous les huées du pesant quotidien.
Chaque aube revenait en infâme refrain,
Gangrénant ses projets comme le fait un chancre.
Isabelle, retourne à tes premiers émois!
N'oublie pas que les fées ne perdent pas espoir!
Le temps est assassin, mais tu es immortelle !
Je crois en tes demain, car ton âme étincelle.
Tu es une musique à nos cœurs sans mémoire.
La route est devant toi, Isabelle, suis ta voie !!
...