Réflexions
Inspirées par le poème de Lepoètedelune : Des mots, en veux tu en voilà !
Mon Dieu, comme tu te fais de soucis pour rien!
A l'heure où n'existait pas l'ordinateur,
Ma plume, sans règle chaque jour, écrivait sur papier vélin
Signé par des larmes sans trêve, devenant saule pleureur!
Mais non, j'étais la force d'amour qui cachait tout!
On ne me voyait nulle part mais n'importe où!
Fermant mon ramage comme un oiseau, le hibou
Qui veille mais ne sait pas tout!
Surtout en campagne, où tous voient,
Racontent et récitent les bruits avant-coureurs
Qui brisent assomment mon cœur
Et tous les écrits en prose intime
Dans ce cahier journalier sont remplis des supplices de ma foi!
Avec l’espérance de vivre sans le choix !
Ces mots loin de poétiser racontent à chaque heure
Où se place « l’aube’épine » sans chaleur !
C'est une période pas sans croix
C'est un hymne à la vie qui change sa voix!
C'est un passé crève-cœur
Qui ne geint plus sa douleur!
Il est éventail grand ouvert sur la vie!
C'est le futur qui prend ses ailes, pose son amour en survie!
J'ai repris mon zèle sur une autre échelle
Ce n'est pas moi qui ai brisé un premier amour!
A petits pas, je sauve les points perdus pour sauver ailleurs nouvelle dentelle!
Sur un site pourquoi pas former d’autres cellules
Comme celles d’un essaim à multiples fenêtres !
L’Amour n’a aucune mesure, il se pose et ne se mesure !
Ecris quand tu veux, comme tu peux
Les règles ajustent les pensées mais les mesurent aussi!
Cours! vole! selon ton désir!
Ne regarde pas de l'Autre son écrit
Reste toi, sois belle tige!
Polymnie2, ce 14 Août 2O17
En cinq minutes se succède ce temps !
Le temps que prendra ma réponse chez lui !
Inspirées par le poème de Lepoètedelune : Des mots, en veux tu en voilà !
Mon Dieu, comme tu te fais de soucis pour rien!
A l'heure où n'existait pas l'ordinateur,
Ma plume, sans règle chaque jour, écrivait sur papier vélin
Signé par des larmes sans trêve, devenant saule pleureur!
Mais non, j'étais la force d'amour qui cachait tout!
On ne me voyait nulle part mais n'importe où!
Fermant mon ramage comme un oiseau, le hibou
Qui veille mais ne sait pas tout!
Surtout en campagne, où tous voient,
Racontent et récitent les bruits avant-coureurs
Qui brisent assomment mon cœur
Et tous les écrits en prose intime
Dans ce cahier journalier sont remplis des supplices de ma foi!
Avec l’espérance de vivre sans le choix !
Ces mots loin de poétiser racontent à chaque heure
Où se place « l’aube’épine » sans chaleur !
C'est une période pas sans croix
C'est un hymne à la vie qui change sa voix!
C'est un passé crève-cœur
Qui ne geint plus sa douleur!
Il est éventail grand ouvert sur la vie!
C'est le futur qui prend ses ailes, pose son amour en survie!
J'ai repris mon zèle sur une autre échelle
Ce n'est pas moi qui ai brisé un premier amour!
A petits pas, je sauve les points perdus pour sauver ailleurs nouvelle dentelle!
Sur un site pourquoi pas former d’autres cellules
Comme celles d’un essaim à multiples fenêtres !
L’Amour n’a aucune mesure, il se pose et ne se mesure !
Ecris quand tu veux, comme tu peux
Les règles ajustent les pensées mais les mesurent aussi!
Cours! vole! selon ton désir!
Ne regarde pas de l'Autre son écrit
Reste toi, sois belle tige!
Polymnie2, ce 14 Août 2O17
En cinq minutes se succède ce temps !
Le temps que prendra ma réponse chez lui !
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