J’ai vingt deux ans cette année et je les porte en croix !
Une chaîne, un pendentif de chronos et mes futurs choix
Me rappellent que le temps est encore l’espoir, ici bas !
Mais le passé et mon bagage émotionnel ne le tolèrent pas !
Ma vie est encore si courte et je ne me souviens pas de tout,
Seul ce que je suis et mes cicatrices défient ce sombre flou !
L’on me raconte que j’aimais les câlins, les gens et les bisous,
Mais l’amour, habitué, fut encore crucifié sous deux clous !
J’ai grandi en gardant l’innocence ; sans montrer les dents,
Mais les gens différents sont exclus et les enfants, méchants !
Les années de collège ne furent de tout repos ; je fus déçu :
J’y compris que mon veston de vie fut à coup sûr, mal cousu !
La solitude a de bon qu’elle donne de la valeur à l’amitié !
Je n’oublierai jamais ce qu’un changement pu me procurer,
Sans trop s’éloigner, juste un bâtiment neuf m’orienta au lycée !
Croyez moi quand je vous avoue qu’on ne l’aurai pas parié !
Aujourd’hui étudiant, l’antipathie me fait encore et toujours rager,
Je sert les dents, et les gens me croient buté ; je ne fais que m’engager !
Toute ma vie fut ponctuée de questions dans une société galvanisée,
Je n’en ressort que des doutes sur une lutte qui ne m’a que trop fatigué !
Aujourd’hui je l’avoue : je suis faible, je laisse tomber la justice !
Puisque tout n’est qu’une question de blé, qu’on oublie les cicatrices,
Je me concentrerai sur le bonheur que je peux donner par plaisir
Et sans plus me forcer, j’attendrai qu’il veuille bien me choisir !
Une chaîne, un pendentif de chronos et mes futurs choix
Me rappellent que le temps est encore l’espoir, ici bas !
Mais le passé et mon bagage émotionnel ne le tolèrent pas !
Ma vie est encore si courte et je ne me souviens pas de tout,
Seul ce que je suis et mes cicatrices défient ce sombre flou !
L’on me raconte que j’aimais les câlins, les gens et les bisous,
Mais l’amour, habitué, fut encore crucifié sous deux clous !
J’ai grandi en gardant l’innocence ; sans montrer les dents,
Mais les gens différents sont exclus et les enfants, méchants !
Les années de collège ne furent de tout repos ; je fus déçu :
J’y compris que mon veston de vie fut à coup sûr, mal cousu !
La solitude a de bon qu’elle donne de la valeur à l’amitié !
Je n’oublierai jamais ce qu’un changement pu me procurer,
Sans trop s’éloigner, juste un bâtiment neuf m’orienta au lycée !
Croyez moi quand je vous avoue qu’on ne l’aurai pas parié !
Aujourd’hui étudiant, l’antipathie me fait encore et toujours rager,
Je sert les dents, et les gens me croient buté ; je ne fais que m’engager !
Toute ma vie fut ponctuée de questions dans une société galvanisée,
Je n’en ressort que des doutes sur une lutte qui ne m’a que trop fatigué !
Aujourd’hui je l’avoue : je suis faible, je laisse tomber la justice !
Puisque tout n’est qu’une question de blé, qu’on oublie les cicatrices,
Je me concentrerai sur le bonheur que je peux donner par plaisir
Et sans plus me forcer, j’attendrai qu’il veuille bien me choisir !