Ils sont partis mourir ailleurs.
Ils étaient nos amis,
Ici, là, c’était leur pays,
Pour leur plus grand malheur,
Ils sont partis mourir ailleurs.
Quand tu n’as pas bon pied,
Appelle les pompiers,
Pour un petit bobo,
Demande l’hélico.
Si tu chutes le jeudi,
Soigné, tu ne seras que le lundi,
Pour tout cela, ils durent partir ainsi,
En délaissant tous leurs amis.
Ils étaient nos amis,
Ici, là, c’était leur pays,
Pour leur plus grand malheur,
Ils sont partis mourir ailleurs.
Depuis longtemps, nous l’attendons,
Pour notre santé, cette maison,
Mais pour ce beau projet,
Les fenêtres faisaient objets.
Il fallait donc recommencer,
Toutes ces idées trop avancées,
C’est maintenant la p’tite terrasse,
Qui semble-t-il, les terrasse.
Ils étaient nos amis,
Ici, là, c’était leur pays,
Pour leur plus grand malheur,
Ils sont partis mourir ailleurs.
Avec l’équipe médicale,
On atteignait la phase finale,
Un médecin en exercice doit faire escale,
Pour que l’association n’soit pas bancale.
Les financements étaient là,
Faillait signer en bas,
Mais pour ces cancres là,
Ils préférèrent les débats.
Ils étaient nos amis,
Ici, là, c’était leur pays,
Pour leur plus grand malheur,
Ils sont partis mourir ailleurs.
Et ce qui fut le plus fatal,
C’est leur option phénoménale.
Les dentistes avaient trop de place,
Et cette chambre n’avait pas sa place…
Depuis plus de dix ans,
Ils sont partis tous ces gens,
Et pour les compter tous à la fois,
Je n’ai pas assez de tous mes doigts.
Ils étaient nos amis,
Leur pays, c’était là, c’était ici,
Mais pour leur plus grand malheur,
Ils sont partis mourir ailleurs.
Et ce qui est le plus odieux,
C’est qu’on ne peut leur dire ADIEU.
Ils étaient nos amis,
Ici, là, c’était leur pays,
Pour leur plus grand malheur,
Ils sont partis mourir ailleurs.
Quand tu n’as pas bon pied,
Appelle les pompiers,
Pour un petit bobo,
Demande l’hélico.
Si tu chutes le jeudi,
Soigné, tu ne seras que le lundi,
Pour tout cela, ils durent partir ainsi,
En délaissant tous leurs amis.
Ils étaient nos amis,
Ici, là, c’était leur pays,
Pour leur plus grand malheur,
Ils sont partis mourir ailleurs.
Depuis longtemps, nous l’attendons,
Pour notre santé, cette maison,
Mais pour ce beau projet,
Les fenêtres faisaient objets.
Il fallait donc recommencer,
Toutes ces idées trop avancées,
C’est maintenant la p’tite terrasse,
Qui semble-t-il, les terrasse.
Ils étaient nos amis,
Ici, là, c’était leur pays,
Pour leur plus grand malheur,
Ils sont partis mourir ailleurs.
Avec l’équipe médicale,
On atteignait la phase finale,
Un médecin en exercice doit faire escale,
Pour que l’association n’soit pas bancale.
Les financements étaient là,
Faillait signer en bas,
Mais pour ces cancres là,
Ils préférèrent les débats.
Ils étaient nos amis,
Ici, là, c’était leur pays,
Pour leur plus grand malheur,
Ils sont partis mourir ailleurs.
Et ce qui fut le plus fatal,
C’est leur option phénoménale.
Les dentistes avaient trop de place,
Et cette chambre n’avait pas sa place…
Depuis plus de dix ans,
Ils sont partis tous ces gens,
Et pour les compter tous à la fois,
Je n’ai pas assez de tous mes doigts.
Ils étaient nos amis,
Leur pays, c’était là, c’était ici,
Mais pour leur plus grand malheur,
Ils sont partis mourir ailleurs.
Et ce qui est le plus odieux,
C’est qu’on ne peut leur dire ADIEU.
Luron1er