Il n’y a pas de mots
Quand dans mon paradis, tu viens me contempler
Et que tu me conduis aux plus douces chimères
Le bonheur est si doux sous tes doigts emperlés
Que j’accueille en mon sein, tant de joies éphémères.
Que dans mon alcôve je pénètre tes voies
Sans un cri, sans un son, comme un enfant bercé,
Au clair de nuit, instant où la lune poudroie
Des rayons irisés sur ma couche froissée
Dans l’illusion du rêve, au plaisir tu ondoies,
En Moi ! Belle-de-nuit en fine mousseline
À l’abri dans tes bras, entre mes draps de soie
Sur ce lit poudré d’or aux odeurs libertines.
L’ambre de ton visage miroite dans mes yeux
Ton regard en étoile, un reflet de douceur
Ombrant mes pupilles d’un émoi merveilleux
En y scellant le temps, sur les sillons du cœur.
Il n’y a pas de mots, il n’y a qu’une flamme
Que le vent emporta dans l’immense univers
Le concerto se tut, sur les cordes de l’âme
Car Le rêve s’envola dans le vaste éther.
Katy-Ann.
Quand dans mon paradis, tu viens me contempler
Et que tu me conduis aux plus douces chimères
Le bonheur est si doux sous tes doigts emperlés
Que j’accueille en mon sein, tant de joies éphémères.
Que dans mon alcôve je pénètre tes voies
Sans un cri, sans un son, comme un enfant bercé,
Au clair de nuit, instant où la lune poudroie
Des rayons irisés sur ma couche froissée
Dans l’illusion du rêve, au plaisir tu ondoies,
En Moi ! Belle-de-nuit en fine mousseline
À l’abri dans tes bras, entre mes draps de soie
Sur ce lit poudré d’or aux odeurs libertines.
L’ambre de ton visage miroite dans mes yeux
Ton regard en étoile, un reflet de douceur
Ombrant mes pupilles d’un émoi merveilleux
En y scellant le temps, sur les sillons du cœur.
Il n’y a pas de mots, il n’y a qu’une flamme
Que le vent emporta dans l’immense univers
Le concerto se tut, sur les cordes de l’âme
Car Le rêve s’envola dans le vaste éther.
Katy-Ann.