Je voyais les étoiles se montrées une par une,
Je suis toute seule à regarder la lune.
Es-ce que quelqu’un remarquerai mon absence,
Je redoute tellement de ne pas avoir ma place,
Car il y a longtemps déjà que le monde avance.
Sans se demander pourquoi je me suis arrêté.
Et devant moi, une personne si insignifiante
Qui me dit : « Que la mort peut-être si tentante,
Que la vie ne peut pas être toujours aussi parfait
Mais qu’il peut toujours il y avoir un mais. »
Et là, je compris dans ses yeux que mon passé
Ne reflètera jamais la pâle et simple vérité,
Que la vie ne pourra jamais être un conte de fée
Mais que pour vivre, il faut aimer …