Il manque à ma vie …
Ton rire était comme une fontaine chantant joyeuse,
Comme le chant d’un gai rossignol amoureux,
Comme un soleil annonçant une journée radieuse,
Un son cristallin, harmonique et mélodieux,
Commuait une catastrophe en simple anecdote,
Il avait ce pouvoir étrange d’inverser l’air du temps,
Ton rire était pour moi, le meilleur antidote,
De changer l’attitude de tous les gens présents,
Il effaçait, sans peine, la plus triste solitude,
Habillait ma vie en scène de soirée d’opéra,
Brisait comme un cristal le silence le plus rude,
Envoyait valser le plus sombre des tracas,
Ton rire était une cascade soyeuse de perles opalines,
Un torrent tumultueux de rubis incandescents,
Une rivière d’émeraudes à la chanson divine,
Ton rire m’était plus précieux qu’un collier de diamants,
Ton rire était une composition de notes musicales,
Un tableau où l’ange lumineux serti de couleurs
Ton rire était l’éclat de ces merveilleux pétales
Une symphonie d’amour où on offre son cœur
Le silence est tombé, amplifiant la gangrène,
Puis, un jour, il s’est éteint, sans motif, sans raison,
Et le malheur, avec son cortège de peines,
S’est installé à demeure, dans notre maison,
Comme un cri, une musique que je n’oublie pas,
Je l’entends souvent, au creux de mes souvenirs,
Comme ce qui reste quand quelqu’un s’en va,
Je m’endors chaque nuit avec ton merveilleux rire.
LILASYS
Ton rire était comme une fontaine chantant joyeuse,
Comme le chant d’un gai rossignol amoureux,
Comme un soleil annonçant une journée radieuse,
Un son cristallin, harmonique et mélodieux,
Commuait une catastrophe en simple anecdote,
Il avait ce pouvoir étrange d’inverser l’air du temps,
Ton rire était pour moi, le meilleur antidote,
De changer l’attitude de tous les gens présents,
Il effaçait, sans peine, la plus triste solitude,
Habillait ma vie en scène de soirée d’opéra,
Brisait comme un cristal le silence le plus rude,
Envoyait valser le plus sombre des tracas,
Ton rire était une cascade soyeuse de perles opalines,
Un torrent tumultueux de rubis incandescents,
Une rivière d’émeraudes à la chanson divine,
Ton rire m’était plus précieux qu’un collier de diamants,
Ton rire était une composition de notes musicales,
Un tableau où l’ange lumineux serti de couleurs
Ton rire était l’éclat de ces merveilleux pétales
Une symphonie d’amour où on offre son cœur
Le silence est tombé, amplifiant la gangrène,
Puis, un jour, il s’est éteint, sans motif, sans raison,
Et le malheur, avec son cortège de peines,
S’est installé à demeure, dans notre maison,
Comme un cri, une musique que je n’oublie pas,
Je l’entends souvent, au creux de mes souvenirs,
Comme ce qui reste quand quelqu’un s’en va,
Je m’endors chaque nuit avec ton merveilleux rire.
LILASYS