Il est mes yeux, sans lui je ne vois rien
Il est mes mains, sans lui je ne touche plus le feu
Il est mon coeur, sans lui je ne sens plus le bien
Il est mon corps, sans lui je rejoindrai les cieux.
Autant de rêves inachevés, de mots oubliés,
Un goût acide qui me parcourt, me dévore
Je m'étais pourtant juré de te garder, de t'aimer.
Comment tout ceci peut-il être simplement mort?
Suis-je la martyre condamnée à rester seule?
Bien plus qu'un homme, tu était mes espérances,
Sans toi à mes cotés, je peux déjà revêtir mon linceul
Enfoui entre cette terre et les enfer, je vogue en pleine errance.
Je maudis ma faiblesse, ma tristesse et mes sentiments,
Si seulement je t'avais dit à quel point je t'aime tant.
Malheureusement ce ne sont pas mes "si" qui me réchaufferons maintenant
Qu'il est doux le printemps lorsqu'il se fane lentement.
Il est mes mains, sans lui je ne touche plus le feu
Il est mon coeur, sans lui je ne sens plus le bien
Il est mon corps, sans lui je rejoindrai les cieux.
Autant de rêves inachevés, de mots oubliés,
Un goût acide qui me parcourt, me dévore
Je m'étais pourtant juré de te garder, de t'aimer.
Comment tout ceci peut-il être simplement mort?
Suis-je la martyre condamnée à rester seule?
Bien plus qu'un homme, tu était mes espérances,
Sans toi à mes cotés, je peux déjà revêtir mon linceul
Enfoui entre cette terre et les enfer, je vogue en pleine errance.
Je maudis ma faiblesse, ma tristesse et mes sentiments,
Si seulement je t'avais dit à quel point je t'aime tant.
Malheureusement ce ne sont pas mes "si" qui me réchaufferons maintenant
Qu'il est doux le printemps lorsqu'il se fane lentement.
Emeris