Il disait ...
Il disait que le cœur ignore les frontières,
Que la couleur de peau n'a pas grande importance,
Que courage et raison valent mieux que prières
Et de chansons d'espoir il meublait les silences.
Il disait que la mort n'est qu'un simple moment,
Juste un ticket de train pour un nouveau départ,
Que, sans doute, plus loin qu'au pays des vivants
Il y a d'autres quais, il y a d'autres gares.
Que la couleur de peau n'a pas grande importance,
Que courage et raison valent mieux que prières
Et de chansons d'espoir il meublait les silences.
Il disait que la mort n'est qu'un simple moment,
Juste un ticket de train pour un nouveau départ,
Que, sans doute, plus loin qu'au pays des vivants
Il y a d'autres quais, il y a d'autres gares.
Il disait que le ciel ne s'arrête pas là,
Que quelque part sans doute il y a d'autres vies,
Qu'il faut aimer les gens, préférer au combat
La chaleur d'une main que l'on tend aux amis.
Il disait que l'amour est la plus belle chose,
Une étoile au jardin, au noir une lueur,
Et il m'offrait ses mots comme fleur fraiche éclose,
Comme on donne un baiser au gamin qui a peur.
Il disait, il disait, je ne me souviens plus,
Sa voix s'est tue un jour mais le peu qu'il me laisse
Me sert de fils de vie que je tisse, éperdue,
Pour habiller mes jours d'un manteau de sagesse.
Que quelque part sans doute il y a d'autres vies,
Qu'il faut aimer les gens, préférer au combat
La chaleur d'une main que l'on tend aux amis.
Il disait que l'amour est la plus belle chose,
Une étoile au jardin, au noir une lueur,
Et il m'offrait ses mots comme fleur fraiche éclose,
Comme on donne un baiser au gamin qui a peur.
Il disait, il disait, je ne me souviens plus,
Sa voix s'est tue un jour mais le peu qu'il me laisse
Me sert de fils de vie que je tisse, éperdue,
Pour habiller mes jours d'un manteau de sagesse.