Il marche le long de la rade au crépuscule
A la recherche du temps ou autre chose tel un funambule
Qui risque de perdre l’équilibre à chaque instant
Sur un simple fil en coton blanc….
On dirait que le vent joue avec ses sens alertés
Oppressés, opprimés, le dos comme arc bouté
Sous les rafales que déverse sur lui, la pluie
Cette pluie de peine, de tristesse et d’ennui.
Il se sent seul, il se sent incompris, délaissé…
Oh non, ne le laisser pas partir, c’est un pilier
Un pilier du temple de la création, de la liberté
Regardez les fissures, les murs risquent de s’écrouler…
On dirait que le ciel s’alourdit sur son passage
Comme si les éclairs nous délivraient un message
Méfiez vous les grondements de tonnerre sont un présage
Il avait le don d’apaiser les prémices des violents orages.
Il soupire, il relève son col en cet automne frileux
A chercher les réponses aux pourquoi silencieux
Qui ne trouve que l’écho des vagues échouées
Sur la plage, en ce dimanche soir, désertée.
On dirait que rien ne le transperce, aucun sentiment
Ne vient se glisser dans son regard plongé vers le néant
C’est un passager hors du brouhaha qui sevit
Avec lui… l’avenir doucement s’enfuit…
Ne le laissez pas juste passer, on aimerait le retenir
Avec des mots, mais lesquels choisir, alors un sourire
Ce sourire que je lui offre avec mon cœur et un merci
Pour cet edifice magnifique qu’avec son âme, il a construit.
Il marche le long de la rade au crépuscule
A la recherche du temps ou autre choses tel un funambule
Qui risque de perdre l’équilibre à chaque instant
Alors ma main , pour lui dire toute mon estime, je lui la tends.
A la recherche du temps ou autre chose tel un funambule
Qui risque de perdre l’équilibre à chaque instant
Sur un simple fil en coton blanc….
On dirait que le vent joue avec ses sens alertés
Oppressés, opprimés, le dos comme arc bouté
Sous les rafales que déverse sur lui, la pluie
Cette pluie de peine, de tristesse et d’ennui.
Il se sent seul, il se sent incompris, délaissé…
Oh non, ne le laisser pas partir, c’est un pilier
Un pilier du temple de la création, de la liberté
Regardez les fissures, les murs risquent de s’écrouler…
On dirait que le ciel s’alourdit sur son passage
Comme si les éclairs nous délivraient un message
Méfiez vous les grondements de tonnerre sont un présage
Il avait le don d’apaiser les prémices des violents orages.
Il soupire, il relève son col en cet automne frileux
A chercher les réponses aux pourquoi silencieux
Qui ne trouve que l’écho des vagues échouées
Sur la plage, en ce dimanche soir, désertée.
On dirait que rien ne le transperce, aucun sentiment
Ne vient se glisser dans son regard plongé vers le néant
C’est un passager hors du brouhaha qui sevit
Avec lui… l’avenir doucement s’enfuit…
Ne le laissez pas juste passer, on aimerait le retenir
Avec des mots, mais lesquels choisir, alors un sourire
Ce sourire que je lui offre avec mon cœur et un merci
Pour cet edifice magnifique qu’avec son âme, il a construit.
Il marche le long de la rade au crépuscule
A la recherche du temps ou autre choses tel un funambule
Qui risque de perdre l’équilibre à chaque instant
Alors ma main , pour lui dire toute mon estime, je lui la tends.