Hymnes en FA à Fayrouz(Poème acrostiche)
Fée à la lyre d’Orphée, couronne de l’antique Cèdre, chant
Angélique d’une brise d’Eden, venant du côté du levant
Y répandant à tout vent, douceurs, couleurs, sons et parfums enivrants
Rivière bleue que hantent les blancs séraphins aux harpes errantes
Oasis verte où l’ombre de « Marie » marie le sacré au nacré de ta touche captivante
Ut enchanteur modulant du doux Mozart l’onduleuse symphonie
Zéphyrs Andalous mêlant le luth « Ziryabi » à la flûte Rahbanie
Luthoriental
Poème acrostiche écrit (le matin en bus Grarem – Constantine)
Grarem le : jeudi 02/12/2007
Fée à la lyre d’Orphée, couronne de l’antique Cèdre, chant
Angélique d’une brise d’Eden, venant du côté du levant
Y répandant à tout vent, douceurs, couleurs, sons et parfums enivrants
Rivière bleue que hantent les blancs séraphins aux harpes errantes
Oasis verte où l’ombre de « Marie » marie le sacré au nacré de ta touche captivante
Ut enchanteur modulant du doux Mozart l’onduleuse symphonie
Zéphyrs Andalous mêlant le luth « Ziryabi » à la flûte Rahbanie
Luthoriental
Poème acrostiche écrit (le matin en bus Grarem – Constantine)
Grarem le : jeudi 02/12/2007