Mon esprit est fécond mon âme est délaissée
Les sarcasmes de l'existence osent à peine me côtoyer
Le vide s'est installé le néant gigantesque talonne
Les neurones sont évasés la fièvre fanfaronne
Univers nous t'en supplions exhibe ta création
Confesse-moi ton intérêt mon désir d'évasion
Les appels se heurtent à un mur de dédain
Ils se perdent au loin tels une vis sans fin
Et nos sensations d'abandon enflent à grand vent
Elles s'accrochent à l'artimon adieu le grément
Mais pourquoi est-il acceptable que l'on soit délaissé
Vomi de tout entourage tel un pin's placardé
Remisé dans une grange aux odeurs fétides
Acculé aux piliers antipodes des sylphides.
La nuit est toujours noire au centre de la terre
De grâce un soupçon d'humanité écartez le délètère
Que les anges nos très grands protecteurs
Eclairent et volent en portant leurs projecteurs
L'espèce humaine aspirerait à plus de sollicitude
Hors de chez nous cette grande tare la solitude.
Agrégo
Les sarcasmes de l'existence osent à peine me côtoyer
Le vide s'est installé le néant gigantesque talonne
Les neurones sont évasés la fièvre fanfaronne
Univers nous t'en supplions exhibe ta création
Confesse-moi ton intérêt mon désir d'évasion
Les appels se heurtent à un mur de dédain
Ils se perdent au loin tels une vis sans fin
Et nos sensations d'abandon enflent à grand vent
Elles s'accrochent à l'artimon adieu le grément
Mais pourquoi est-il acceptable que l'on soit délaissé
Vomi de tout entourage tel un pin's placardé
Remisé dans une grange aux odeurs fétides
Acculé aux piliers antipodes des sylphides.
La nuit est toujours noire au centre de la terre
De grâce un soupçon d'humanité écartez le délètère
Que les anges nos très grands protecteurs
Eclairent et volent en portant leurs projecteurs
L'espèce humaine aspirerait à plus de sollicitude
Hors de chez nous cette grande tare la solitude.
Agrégo