Grâce à vous…..
L’enfant qui allait tous les dimanches à la messe
Ne pouvant par son jeune âge participer à la chorale
Son chant se fit entendre tel l’oiseau à ses prouesses
Pour la petite quoi de plus normale
Elle se souvient d’aller chez vous dame demoiselle
Vous étiez assise avec votre tante dans le salon
Vous voir pianoter c’est entendre les hirondelles
Votre tante, elle qui tenait si bien le violon
Cet enfant qui aimait la beauté et la lecture
Vous l’invitâmes à la bibliothèque et aussi à un brin de religion
Vous saviez qu’elle avait la vie très dure
D’elle vous aviez infinité et aussi compassion
Quand elle quitta le domicile parental
Car la souffrance la menait vers un autre sentier
Vous n’aviez pas trouvé cela banal
Vous lui avez garder votre amitié
Votre tante vous avez envoyé
Avec de la viande pour elle, son frère et sa mère
Vous aviez appris que par terre elle était tombée
Cette pauvre enfant de misère
Un jour vous les avez invité au restaurant
C’était pour elle une première
Vous les avez gâté comme nul auparavant
Et la petite se sentait un peu fière
Alors elle vous réinvitère
Consultant son frère et sa maman
Oh bien sur que de sacrifices qu’ils ont pû faire
Mais ils étaient heureux maintenant
Les deux demoiselles acceptèrent
Et les voici au restaurant
Une omelette c’est ce qu’elles préfèrent
Sachant qu’ils étaient près du néant
Mais on les a bien eues
On avait bien compris
Un jour que c’était elles qui nous invitèrent pour le menu
Derrière leur dos, l’addition nous l’avons pris
Certains sont peut-être contre la bourgeoisie
Mais moi je viens leur rendre hommage
C’etait ces demoiselles mes amies
Elles m’ont écarté du naufrage
Aujourd’hui elles ne sont plus
Mais dans notre cœur elles vivront toujours
Le chemin qu’elles nous ont montré nous a plus
C’est celui de la droiture de l’humilité et de l’amour
Texte protégé le 26/04/14 YR
Hommage à M elle Marie –Thérèse Messe professeur de piano et sa tante M elle Yvette Potiaux Directrice d’ecole .
Une amitié que même la mort n’a pas effacé
L’enfant qui allait tous les dimanches à la messe
Ne pouvant par son jeune âge participer à la chorale
Son chant se fit entendre tel l’oiseau à ses prouesses
Pour la petite quoi de plus normale
Elle se souvient d’aller chez vous dame demoiselle
Vous étiez assise avec votre tante dans le salon
Vous voir pianoter c’est entendre les hirondelles
Votre tante, elle qui tenait si bien le violon
Cet enfant qui aimait la beauté et la lecture
Vous l’invitâmes à la bibliothèque et aussi à un brin de religion
Vous saviez qu’elle avait la vie très dure
D’elle vous aviez infinité et aussi compassion
Quand elle quitta le domicile parental
Car la souffrance la menait vers un autre sentier
Vous n’aviez pas trouvé cela banal
Vous lui avez garder votre amitié
Votre tante vous avez envoyé
Avec de la viande pour elle, son frère et sa mère
Vous aviez appris que par terre elle était tombée
Cette pauvre enfant de misère
Un jour vous les avez invité au restaurant
C’était pour elle une première
Vous les avez gâté comme nul auparavant
Et la petite se sentait un peu fière
Alors elle vous réinvitère
Consultant son frère et sa maman
Oh bien sur que de sacrifices qu’ils ont pû faire
Mais ils étaient heureux maintenant
Les deux demoiselles acceptèrent
Et les voici au restaurant
Une omelette c’est ce qu’elles préfèrent
Sachant qu’ils étaient près du néant
Mais on les a bien eues
On avait bien compris
Un jour que c’était elles qui nous invitèrent pour le menu
Derrière leur dos, l’addition nous l’avons pris
Certains sont peut-être contre la bourgeoisie
Mais moi je viens leur rendre hommage
C’etait ces demoiselles mes amies
Elles m’ont écarté du naufrage
Aujourd’hui elles ne sont plus
Mais dans notre cœur elles vivront toujours
Le chemin qu’elles nous ont montré nous a plus
C’est celui de la droiture de l’humilité et de l’amour
Texte protégé le 26/04/14 YR
Hommage à M elle Marie –Thérèse Messe professeur de piano et sa tante M elle Yvette Potiaux Directrice d’ecole .
Une amitié que même la mort n’a pas effacé