De tes mains de ta langue,
Tu as parcouru mon corps,
De tes mains de ta langue,
Tu me fais gémir encore,
De caresses en caresses,
Pourvu que rien ne cesse,
J'aime quand tes yeux se baissent,
Et que jamais ils ne me délaissent...
Je te tien dans mes mains,
Doucement je sens le désir qui vient,
Je te pèrends dans ma bouche,
Je sens l'une des caresses les plus douces,
Je te sens sur mon ventre,
Je sens mes seins qui se dressent,
Je te sens sur mon ventre,
Je sens ta main sur mes fesses,
Tu m'approches de toi,
C'est la plus douce des tortures,
C'est à ta bouche que je la dois,
J'ondule sous les couvertures,
J'aimerai que, doucement, tu viennes,
Que tu pénètres en moi,
J'aimerai que, doucement, tu viennes,
Que tu continus ce qui me donne tant d'émois,
Je veux crier ton nom,
Que tu me donnes des frissons,
Que nous continuions notre ascension,
Pour qu'ensemble, l'extase, nous connaissons...
Tu retombes tout tremblant contre moi,
Je me blottie dans tes bras,
Tu retombes tout tremblant contre moi,
Je me dis que je n'aime que toi !
Mais il faut que tu t'en ailles,
Retrouver la femme des tes fiançailles,
Il te faut oublier la détresse,
Celle que je ressens, moi, ta maîtresse !
Tu as parcouru mon corps,
De tes mains de ta langue,
Tu me fais gémir encore,
De caresses en caresses,
Pourvu que rien ne cesse,
J'aime quand tes yeux se baissent,
Et que jamais ils ne me délaissent...
Je te tien dans mes mains,
Doucement je sens le désir qui vient,
Je te pèrends dans ma bouche,
Je sens l'une des caresses les plus douces,
Je te sens sur mon ventre,
Je sens mes seins qui se dressent,
Je te sens sur mon ventre,
Je sens ta main sur mes fesses,
Tu m'approches de toi,
C'est la plus douce des tortures,
C'est à ta bouche que je la dois,
J'ondule sous les couvertures,
J'aimerai que, doucement, tu viennes,
Que tu pénètres en moi,
J'aimerai que, doucement, tu viennes,
Que tu continus ce qui me donne tant d'émois,
Je veux crier ton nom,
Que tu me donnes des frissons,
Que nous continuions notre ascension,
Pour qu'ensemble, l'extase, nous connaissons...
Tu retombes tout tremblant contre moi,
Je me blottie dans tes bras,
Tu retombes tout tremblant contre moi,
Je me dis que je n'aime que toi !
Mais il faut que tu t'en ailles,
Retrouver la femme des tes fiançailles,
Il te faut oublier la détresse,
Celle que je ressens, moi, ta maîtresse !